
Bonjour à tous !
juste un petit mot pour vous dire que mon blog change d'adresse :
http://www.mademoisellequincampoix.com/Pensez à changer vos liens
J'espère que vous continuerez à me suivre...
Merci à tous !
A très bientôt

Aujourd'hui, un grand coup de cœur !
Laurent Desgrange.
Un jeune créateur de talent à l'univers graphique chic et choc ...
Si vous cherchez un nœud papillon c'est sur que c'est chez lui qu'il faut aller.
Ils sont tous plus beaux les uns que les autres...Comment choisir ?
Ses illustrations sont aussi magnifiques : mêlant un monde iconographique ancien à un graphisme géométrique très contemporain.
Un véritable feu d'artifice de motifs, de couleurs, de matières...
Laurent Desgrange dessine, fabrique et commercialise ses créations sous son propre nom depuis 2005.
À l’origine destinées à ses amis et son entourage personnel proche, ses Tshirts ont très vite séduit un public toujours plus large. Amateurs de rock et de pièces uniques ont été de plus en plus nombreux à apprécier l’originalité de l’approche esthétique graphique et pointue de ses visuels.
Laurent Desgrange se concentre sur le haut du corps avec sa ligne de Tshirts qui s’est enrichie depuis de polos et chemises. Celle-ci est complétée par une collection de nœuds papillon réalisés à la main.
Depuis 2007, il présente chaque saison aux salons Who’s Next ou Prêt a Porter Paris.
Prochain rendez-vous au salon Shibuya Prêt a Porter Paris Septembre 2009
Points de vente :Paris :
Marais : Emilie Casiez, Jack Henry, Noir Kennedy
Etienne Marcel : Out
Abbesses : Chine Machine
Turin : Frav
Dublin : All the Best
Berlin : Niconé
Japon : Onward
http://www.laurentdesgrange.com/

Aujourd'hui, je vous propose d'entrer dans le dressing de
Badgirl.
Pour les adeptes de
Modepass, vous la connaissez déjà surement.
Elle vient d'ailleurs de gagner leur concours pour être publié dans la presse.
Ses conseils sont précieux : quand elle parle de Mode, elle connait son sujet !
Le look est une histoire de famille pour elle...
"
Je suis une jeune avocate idéaliste et passionnée qui cultive luxe, calme et volupté… Fan de sacs et de chaussures, de noir et de sobriété, la mode est pour moi une histoire de famille. Les vêtements se prêtent, se donnent et connaissent plusieurs vies pour le plus grand plaisir de mes proches. Je vis entourée d’une quantité astronomique de magazines que je lis, relis, découpe et dépèce jusqu’à la dernière page… Accro du shopping évidemment, j’aime aussi fumer, rire avec mes amis, écouter de la musique beaucoup trop fort et chanter faux…très, très faux!"
Son dressing :
Comment tu définis ton style ?Je suis essentiellement en noir ou teintes sombres, bleu marine ou brun.
Première règle absolue : mixer les pièces, oser une touche décalée, robe du soir / veste en cuir, féminin / masculin et rendre les pièces chics un peu trashy. Ne jamais être en total look ni avoir l’air too much.
Mes essentiels de tous les jours ? une veste de smoking masculine portée sur une blouse avec un jeans et dans un autre registre, une robe ultra mini mais accessoirisée de collants opaques et boots plates ou bottes de moto revisitée.
Pour le soir : l’éternelle petite robe noire, neutre, en ajoutant une touche de couleur ou de métal pour le côté sexy. Il s’agit plus ici d’une question de matières que de tenues et matières fluides, soie et autres mousselines sont à l’honneur.
Ma tenue fétiche ? une robe en soie See by Chloé, dos nu, que je porte les cheveux attachés, au-delà du rythme des saisons, avec des boots ou sandales plates mais également avec des chaussures à talons ou bottes plus féminines.
Comment tu le construis ?La base pour construire un look est de miser sur les bons accessoires et surtout soigner le choix du sac et des chaussures, accessoires élémentaires du look. Du reste on ne retient qu’une silhouette que je construis au grès de mes humeurs : mutine, sexy, sage, décontractée ou féminine...
Un principe que j’ai appris : adapter son look à sa morphologie, ne pas acheter un vêtement parce que c’est le « hit » du moment mais parce qu’il reflète sa personnalité et convient à sa morphologie. La mode pour la mode n’est pas intéressante mais doit être un vecteur d’expression individuelle, s’approprier pour refléter une personnalité.
Enfin, je ne néglige jamais le choix des accessoires permettant de finaliser le look : souligner la taille par des ceintures hautes, larges ou fines et taille basse, ajouter des foulards ou bijoux, sautoirs et autres, soigner le détail.
Qu’est-ce qui t’influence ?D’abord, la quantité astronomique de magazines que j’achète régulièrement avec une mention spéciale pour le
Elle, le
Jalouse et le
Vogue.
Et puis, des personnalités, connues ou inconnues, aperçues dans la rue, icônes médiatiques comme
Lou Doillon,
Kate Moss ou
Alexa Chung, ou encore côtoyées dans mon entourage.
Enfin, de façon intemporelle, ce sont mes deux sœurs qui ont une particulière influence sur moi, en qui j’ai confiance et qui sont mes conseillères les plus avisées.
Où trouves-tu tes vêtements ?Je suis absolument obsédée par le shopping, fonctionne par crise de tendance compulsive mais je suis aussi monomaniaque et, en fin de compte, porte toujours les mêmes choses…
J’aime particulièrement
Balenciaga pour les accessoires et
Martin Margiela pour les chaussures dont je possède trois paires et notamment une paire de bottes que j’ai tellement porté cet hiver que j’ai dû faire ressemeler !
Pour les jeans, c’est
Acne,
Notify et
H&M et je reste depuis plusieurs années totalement fidèle à
K Jacques pour les sandales d’été, que je trouve sur Internet ou à Saint-Tropez.
Triple coup de cœur pour
Isabel Marant qui me plait toujours d’avantage au fils des saisons et dont les collections correspondent toujours à mes envies, mélange d’un style ethnique et raffiné, sobre et toujours féminin.
A Paris, j’affectionne particulièrement
le Bon Marché et la
rue Antoine Dansaert à Bruxelles, Mecque des créateurs belges.
Sinon, j’ai une curiosité à toute épreuve qui me pousse à chiner autant chez H&M, Zara,
Top Shop ou
Asos sur Internet que chez
Vanessa Bruno,
Sandro ou
Dries Van Noten…


Ca devient de plus en plus réel...
Les années 90 font leur grand retour dans la tendance !
Moi quand je pense aux années 90, je repense à mon adolescence, au Hit Machine avec Charly et Lulu, je revois Hélène et les garçons et surtout Berverly Hills !
C'est donc un peu terrifiant...
Personne n'aime vraiment se souvenir des années "ingrates".
Je me rappelle des bombers Scott, des jeans coupe droite et taille haute Levi's 501, les tee-shirts courts, ultra moulants et fluos Kookai, les Doc Marteen's...
Bref, un moment assez difficile à passer !

Mais en regardant de plus près, quelques pièces réinterprétées s'inscrivent assez bien dans notre temps : la veste en jean (même si j'ai encore du mal...), la veste d'homme à épaulettes est redevenue un "must-have", les imprimés pastels liberty à la Cacharel, les Wayfarers...
Le tout étant de savoir bien composer la tenue pour ne pas avoir un "total look", qui pourrait vite virer au ringard, et garder le meilleur de ces années ( donc pas le Scott, ni le vert anis et les imprimés "etniques" flashy...)
Et vous? vous avez ressortis des pièces superbes de votre grenier?
Kids with Guns !
1 May 2009 12:44 AM (16 years ago)


Aujourd'hui, je vous propose de découvrir la créatrice tellement pétillante de "Kids with guns".
Elle a une passion pour la récupération, les brocantes et sa vieille caisse de jouets...
C'est de là qu'est parti l'univers de sa marque.
Chaque pièce est unique et a une histoire.
Moi j'adhère complètement à ses créations !

"Kids with guns vient de la chanson de Gorillaz remix hot chip du même nom qui m'a beaucoup touchée et du collier pistolet qui est le tout premier que j'ai fait pour moi, et qui ne m'a pas quittée depuis 2 ans."

"Je crée des bijoux ( colliers et bagues et serre tête) avec des jouets Barbie et Playmobil . Je cherche les objets qui représentent le plus l'univers qui me plait et auquel je veux appartenir; un savant équilibre entre féminité douceur et élégance et caractère, humour"

"Pour l'instant tous les objets viennent de ma propre caisse à jouet mais j'ai commencé à chiner dans des brocantes, des magasins de jouets et des vides greniers les objets qui seront mes futures créations."

"Je fonctionne au coup de cœur et j'ai des tas, mais des tas d'idées en tête !
Après tout dépend de ce que je trouve et du matériel que j'ai ; je ne sais pas ce que va devenir un jouet avant la fin .
Il peut être une bague, une broche, une barrette, ou un collier."

"Je travaille seule ce qui me permet de pouvoir décider ce que je veux et de ne m'en vouloir qu'à moi même en cas d'échec.
Mais j'ai beaucoup de projets pour travailler avec d'autres artistes ."

"Et il y aura bientôt des vêtements sur le site .
Je retape du vintage .
En fait j'aime chiner, j'aime les brocantes, j'aime que les vêtements ou les objets aient une histoire et que je puisse la connaitre pour le transformer."

"Ce que j'aime avec les jouets c'est qu' ils sont quasi uniques. il ne s'agit pas de séries et je ne veux pas qu'il y ai des objets qui soient pareil ( à part pour les chaussures de Barbie qui sont par paires quand je n'en ai pas perdue une) je peut faire 3 bagues lapins mais j'aurai un mal fou à trouver les 3 mêmes.
J'aime à ce que chaque objet soit unique, que la personne qui le choisisse se dise que c'est l'objet qui la représente et qui complètera son caractère."
On peut me trouver:
http://kenzasmg.blogspot.com/ (article sur blog kenza)
http://kidswith-guns.blogspot.com/ (mon blog)
http://www.facebook.com/profile.php?id=683981776#/group.php?gid=81110381538&ref=ts (ma page facebook)
On peut commander et me joindre :
juanita--banana@hotmail.fr Ou sur mon facebook bien sûr ( kids with guns )
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Revue de presse.
30 Apr 2009 2:00 PM (16 years ago)

Êtes-vous allés voir l'exposition les marins font la mode au Musée de la Marine ?
Je vous en avais déjà parlé.
Cette exposition est vraiment géniale.
Il ne faut pas la manquer...
Ce qui est aussi très intéressant c'est le
blog que les commissaires de l'exposition ont mis en place en parallèle.
J'y passe tous les jours et je découvre chaque fois des articles passionnants.
Et hier, l'article sur la créatrice
Val Piriou a particulièrement retenu mon attention.
Je vous conseille de le lire et d'aller faire un tour sur ce blog génial !
http://www.musee-marine.fr/blog/Val Piriou au musée national de la Marine
"Dans le cadre de notre exposition, nous présentons trois œuvres textiles d’une créatrice peu connue en France, Val Piriou.
Vestiaire Caban dans l'exposition : Caban en PVC Blanc, Val Piriou puis Hermès/Margiela, Jean Paul Gaultier, Hermès/Gaultier, Ted Lapidus
Moins connue dans son pays qu’à l’international, “Val Piriou avait une démarche très moderne pour son temps, fruit du mélange entre ses origines bretonnes et cette vie londonienne hype”, raconte Nelly Rodi.
L’influence de la Bretagne se fait ressentir dans le travail de Val Piriou. Avec un culot incroyable, et un talent surprenant, elle a su donner au costume breton du XIXe une nouvelle vie et une démesure. Travailler certes sur le costume régional, mais pour l’internationaliser.
A l’instar des défilés de Jean Paul Gaultier ou de Christian Lacroix, eux aussi influencés par les costumes des bigoudènes, Val Piriou a su bien avant, voir en ces costumes typiques, une poésie, une création, un potentiel de mode. Entre les vêtements des marins et ceux folkloriques, la créatrice a détourné des pièces austères en tenues sexy, zippés, déhanchées créant en partie ces futures Breizh icônes.
Vestiaire Marinière et Vareuse : en haut à droite Top Val Piriou
Formée aux Beaux-Arts de Quimper et Rennes puis à Paris, Val (pour Valérie) Piriou intègre des écoles de stylisme (Cours Berçot, Fashion Forum School) entre 1983 et 1985.
Elle s’installe en octobre 1985 à Londres et créé sa marque en 1986 et son logo (Tour Eiffel et nuage). Elle démarre par un défilé de maillots de bain lors de l’ouverture d la boîte de nuit le Limelight à Londres, et la chaîne Harrod’s lance et diffuse sa marque. Dès 1987, elle présente ses pièces au British Designer Show, propose une collection de lingerie en coton strech et broderie bretonne. En 1988, c’est la création de la ligne Maille fabriquée à Quimper par les bonneteries Fileuses d’Arvor. Val Piriou transforme son logo l’année suivante : le curseur rond du zip se mue en triangle, le V de Val.
Exilée à Londres, elle peut enfin laisser exploser son talent lors de ses shows. Son défilé en 1990 présente 150 modèles, défilé présenté sur une scène circulaire en forme de gâteau d’anniversaire au son d’un orchestre de jazz.

Modèle du Musée portant les collections Val Piriou / Mnm A. Fux Diffusion Interdite
“Le nouveau nom à retenir c’est Val Piriou. Une jeune femme de 27 ans, née en Bretagne (France) mais qui a vécu à Londres pendant 6 ans. Elle a fait débuter son défilé par un concert live d’un jazz band de la Nouvelle Orléans. Ces tenues sont si “ouvertes” qu’elles ressemblent davantage à des sous vêtements . Elle aime les surfaces texturées, les sequins en bois , et fait des robes avec des billes de bois telles que celles que les chauffeurs de taxis utilisent. Sur qu’on entendra parler d’elle” Bernadine Morris, New York Times, 16 oct. 1990.
Le 15 octobre 1990, elle est nommée Innovative Designer of the Year at the Fashion Ceremony at the Royal Albert Hall (l’équivalent français du Dé d’Or).
En 1991, sa veste à poches détachables devient l’image publicitaire des tissus LYCRA .
Pour la collection’hiver 91/92, elle présente son show à Londres, puis figure au Salon des Créateurs à Paris, et au salon des designers de New York. La robe de mariée présentée en fin de défilé, en toile de cuivre froissée, est choisie par Pedro Almodovar producteur pour une scène de mariage du film d’Alex de la Iglesia “Action Mutante” tournée en 1992.

Top Val Piriou de dos / Mnm A. Fux Diffusion Interdite
Pour l’été 91/92 la consécration doit passer par un défilé à Paris. C’est le cas le 21 octobre 1991 à la Galerie de la Tour de Nesles avec 100 modèles. La tendance est au gabardine strech. Avec une collection style marin, en gabardine de strech blanc et noir galonnée de blanc, des combi shorts à cols marins, robes , tailleurs …
Le final du défilé présente une série de modèles inspirés des costumes traditionnels bretons. La mariée néo bigoudène porte un modèle de mini robe orange en guipure sur jupon de crin se prolongeant en traîne, un voile de tulle s’échappe de la coiffe en plastique.
En 1992, on assiste à la création de la ligne VP diffusion et la jeune créatrice est lauréate à la Fashion Weeks London Awards. Le ligne s’ouvre l’année suivante au marché japonais. Un show room est ouvert à la Galerie de la Madeleine à Paris.
Malheureusement,en 1995, la dernière collection en préparation ne peut être présentée. Val Piriou trop faible est déjà gravement malade.
Val Piriou, c’était la griffe glamour d’une Bretonne

Caban en PVC présenté dans l'exposition / Mnm A Fux Diffusion Interdite

Caban en Pvc de face Val Piriou / Mnm A Fux Diffusion Interdite

Tenue Val Piriou portée par le modèle du musée / Mnm A Fux Diffusion Interdite
Née à Quimper le 30 août 1963 et disparue le 13 mars 1995, Val Piriou a laissé une oeuvre riche, sans doute inachevée. Sa mère, Marie-Paule Piriou, a beaucoup oeuvré pour faire (re)connaître le travail de sa fille. Elle a fait don des collections de sa fille au musée départemental Breton de Quimper, ainsi qu’au musée de la mode de Marseille.

Jupe à pont exposée au musée / Mnm A. Fux
L’été dernier, Maurice et Ida Garnier, qui ont exposé Bernard Buffet depuis ses débuts en 1947, ont offert au musée départemental Breton de Quimper, une de ses toiles intitulé La Bigoudène. Cette oeuvre est présenté entre deux robes de Val Piriou.
Les oeuvres de Val Piriou ont été à plusieurs reprises exposées
Costumes traditionnels du Finistère (collection néo bigoudène de 1991). musée départemental breton, Quimper. 1996
Nouveaux objets, anciens mondes musée de Bretagne, Rennes. 2002
Val Piriou une griffe bretonne, Ateliers de l’Art, Douarnenez. 2002.
EXPRESSIONS DE BRETAGNE au Manoir de Kernault. 2003
MODERNITES DU COSTUME BRETON, de la tradition à Jean Paul Gauthier, espace chapelle de la Mairie de Guingamp, 2007
TALENTS AIGUILLES à Plougastel Daoulas, au musée de la fraise et du patrimoine, avril-oct. 2008
Eté 2008 : Marie Paule Piriou arrive de Quimper au musée national de la Marine, apportant avec elle des tenues de Val Piriou dont nous avons beaucoup parlé par téléphone.
Rapidement, elle nous autorise non seulement à photographier ses collections mais à ce que ces tenues soient flashées en situation. Le propre d’un vêtement est d’être porté, en mouvement. Une des collaboratrices du musée, accepte gentiment de prêter sa silhouette et de jouer au mannequin le temps de la séance photo. Le photographe du musée joue le jeu également.
Avec beaucoup d’émotion, les vêtements de Val sont revêtus et revivent devant nos yeux."

Le concept est simple : on ne peut pas dire à quel point on aime quelque chose tant qu'on ne l'a pas comparé à une autre...
Voila l'idée première de ce projet.
Puis il a pris de l'ampleur au même titre qu'une performance artistique.
Chacun peut laisser son propre "
i love you more than ..." sur le site et le voir publié.
Ils ont également édités des tee-shirts, des sacs, des badges, des carnets à personnaliser.
Alors si vous avez un mot à dire ou une déclaration à faire rendez-vous sur le site :
http://iloveyoumorethanblank.com/


Le concept était génial :
31 soirées éclectiques dans un lieu tenu secret...
Un petit mail à envoyer pour s'inscrire et boum on pouvait participer à l'une des soirées du
PopUp Bar sponsorisé par une nouvelle boisson :
Vitamin Water !
La programmation était parfaite : des
concerts (House de raket, The Rakes...) , des
soirées mode (avec Andrea Crew, The Selby, Gareth Pugh...) du
cinéma, des
workshop ( tricot avec Woll and the Gang, une soirée Dandy Dating...)...
Et l'ancien théatre du Renard a vu passé du beau monde : The Face Hunter, Daphné Bürki, Audrey Marnay... et bien d'autres.
J'ai eu la chance de participer à la soirée de cloture en l'honneur de Gareth Pugh.
Il nous a présenté une vidéo expérimentale en noir et blanc hypnotisante avec une mannequin habillée de cuir lacéré...
C'était magique !

Retrouvez les photos des soirées sur le blog du PopUp Bar :
www.popupbar.frLes collections de Gareth Pugh :


Son univers est indéfinissable...
Les coupes, les matières, les silhouettes.
C'est sculptural !
Ses collection à la fois épurées et hyper complexes sont de véritables œuvres d'art...
Coco avant Chanel
27 Apr 2009 3:08 PM (16 years ago)

Dimanche, je suis allée voir
Coco avant Chanel au cinéma.
J'avoue y être allée avec des à priori, n'aimant pas vraiment le cinéma français, étant lassée d'
Audrey Tautou, et doutant de
Benoit Poelvoorde pour ce film...
Et ça n'a pas manqué, j'ai été déçue !
Déjà, le film est assez plat, tout reste en surface, aucun sujet et caractère n'est vraiment développé...
Le personnage de
Gabrielle Chanel est vraiment bâclé.
Le coté précurseur et rebelle de cette femme n'est jamais vraiment affirmé :
ici,
Coco est effacée, timide, pas vraiment convaincue...
Elle ressemble plus à quelqu'un d'un peu bizarre qui n'aime pas les fanfreluches plutôt qu'à une femme qui va révolutionner la Mode.
J'ai été aussi étonnée de ne voir que très rarement des scènes où elle créé, coud ou a des idées.
La seule chose que l'on sait c'est qu'elle a fait 3 chapeaux pour des amies de la haute Société...
Elle n'a pas d'émotions créative !
Par contre, quand il est question de rappeler qu'elle a commencé dans un cabaret de second rang à chanter "coco", là on est gâtés !
Pour résumer les propos du film,
Gabrielle Chanel est une fille pauvre qui chantait "coco", qui s'habille en garçonnet moche, qui squatte chez les riches et qui a fait 3 chapeaux...
et poum elle devient
Coco Chanel !
Je n'ai pas vraiment compris l'intérêt de ce film...
Et vous? vous l'avez vu? Vous avez aimé?
La classe indémodable de Coco Chanel :

Aujourd'hui
Slanelle nous ouvre les portes de sa garde-robe et nous parle de son style.
Elle avoue changer de look souvent suivant ses envies et son inspiration du moment...
Elle aime aussi chiner, customiser et coudre elle même ses vêtements.
Son dressing aux notes "
Coppolesques" fait rêver...
Je vous laisse la découvrir.
Son dressing :
Ce qu'elle dit de son style :"J'ai du mal à définir mon style, parce qu'il peut varier complètement d'un jour à l'autre !
Tout dépend de mon humeur du jour.
Généralement, je privilégie le confort, je déteste me sentir mal à l'aise dans mes vêtements, soient parce qu'ils sont inconfortables, soit parce qu'ils sont trop
sexy !
Donc j'essaie toujours de garder un certain équilibre.
Si je met un haut un peu sexy, le bas sera super
casual, et vice versa.
En ce moment, je porte beaucoup de
gris, mais dès que l'été s'installera, le gris laissera place à pleins de
couleurs plus pétillantes !
Quand viens le moment de m'habiller, j'ai souvent une pièce spécifique en tête que j'ai envie de porter, et je construis toute la tenue à partir de ça.
Parfois ça ne fonctionne pas, je ne trouve rien pour aller avec, alors j'abandonne et j'enfile un
jean, des
converses, et mon pull
American Apparel , c'est vraiment ma tenue de secours!
Je puise l'inspiration un peu partout, que ce soit en jetant un œil par la fenêtre et en admirant les cerisiers en fleurs (qui me donnent envie de porter des robes légères et romantiques), en regardant des séries pour ado (genre 90210, qui me font filer illico chez
H&M acheter un legging zippé), ou des films (il y a des personnages de films très charismatiques, comme les sœurs Lisbon dans
The Virgin Suicides) ou bien sûr dans les magasines et blogs de mode.
La musique m'influence aussi énormément, une chanson peut complètement suggérer ma tenue du jour.
Cela dit, je me méfie des modes, et j'essaie de ne pas les prendre trop à cœur.
Je préfère les gens qui réussissent à avoir un style totalement personnel.
J'achète beaucoup de vêtement sur le net, sur les sites de seconde main (
priceminister est mon ami), parce que je ne roule pas sur l'or.
Je vais beaucoup chez
H&M, et je voue un culte à
American Apparel, qui me met sur la paille chaque fois que je surf sur leur site en ligne!!
Sinon, je fabrique pas mal de vêtements moi même, je recycle des vieux trucs, et je les détourne pour les remettre au gout du jour.
Ma mère m'aide pour la partie
couture parce que je ne suis pas très douée !
Je mettrais très prochainement sur mon blog des photos d'un Teeshirt zippé qui se transforme en débardeur sexy, que j'ai confectionné entièrement à l'aide d'une amie à moi.
Elle gère la couture, et moi les idées ;)
Sinon, pour les petites infos persos, je suis en Master 2 de littérature Américaine mais je n'ai aucune idée de ce que je vais faire après.
J'ai longtemps voulu être journaliste de mode, mais maintenant je crois que je préférerais devenir écrivain.
Ou auteur compositeur interprète (mais finalement, je suis trop timide pour chanter devant des gens ) ".
Retrouvez la ici aussi : Son myspace :
www.myspace.com/jadelmusicSes blogs :
-
www.slanellestyle.blogspot.com ( pour ce qui concerne mon style perso)
-www.slanelle.skyrock.com (pour la mode en général)
Liberty chéri !
25 Apr 2009 2:00 PM (16 years ago)

Ce temps tout gris, moi ça me donne envie de liberty...
Peut-être que les fleurs de ma jupe feront revenir le soleil !

Tee-shirt :
Denim Gallery www.denimgallery-biarritz.frJupe liberty faite maison ( tissus acheté au marché Saint Pierre ).
Sandales en cuir ébène :
ZaraCeinture en daim rose poudre :
H&MPochette en osier :
PrimarkCollier nœud corail
Emmanuelle Esther :
www.emmanuelle-esther.comCollier éléphant :
H&M

Aujourd'hui, encore une découverte de taille.
La marque
Rabbit on the run et ses tee-shirts(mais aussi foulards, combinaisons, accessoires...) inédits et surprenants !
Je me suis tout de suite retrouvée en voyant leur collection.
Je pense que vous aussi vous allez aimer...
Le nom "
Rabbit on the run" reflète totalement l'univers différent, indépendant, libre et de la marque .
Les motifs sont le résultat d'expériences diverses.
La coupe est issue de pliages qui mènent à une symétrie spontanée et singulière.
Au final,
Rabbit on the run c'est jeu de contrastes entre le primitif et l'ultra contemporain
La marque est inscrite dans une culture artistique pluridisciplinaire, toujours en mouvement et source d'inspiration
A la fois festive, espiègle, ethnique, sauvage et urbain...
www.rabbitontherun.com

Hier, dans ma boîte aux lettres virtuelle, j'ai reçu un mail de
Mademoiselle Urbaine me disant : "regardes vite tu vas adorer...".
Avec ce petit mot, un lien.
Je clique.
Et là, je suis propulsée au pays des merveilles...
Sarah Seven...
Des robes de rêves.
Des tons poudrés...
Elles ne quittent plus mon esprit depuis que j'ai ouvert la boite de pandore...
Alors je voulais vous faire partager cette découverte et je m'excuse pour la contamination nationale qui va en découler.
Elle vend ses modèles sur
Etsy.
Les prix sont quand même élevés ( au moins 200$ la robe ) mais rien que le plaisir des yeux fait du bien...
Voici une de mes tenues printanière concoctée avec mes achats londoniens...
Tout d'abord, la
jupe...
Beige et corail, taille très haute et bouffante.
Je l'ai tout de suite adoré !
Et je l'ai trouvé chez
Primark !
Ensuite, les
chaussures...
Achetées chez
Zara l'été dernier.
Elles sont géniales: elles vont avec tout et j'aime la couleur du cuir brun ébène.
Puis les
accessoires :
La
pochette crème en cuir vient de chez
Freep'star.
Le
collier nœud corail est une merveille d'
Emmanuelle Esther (
www.emmanuelle-esther.com).
Le
collier plume bleue nuit vient de chez
Topshop.
J'aime beaucoup le petit côté "circus" de cette tenue... Elle me donne envie d'être funambule !


L'univers de la marque suédoise
Burfitt est poétique, élégant et chic.
Elle est surtout connue pour ses
tee-shirts illustrés à la main et ses
robes et
shorts tailles hautes.
Un petit coté
pin up des années 50 qui est à tomber !
Les photos de la collection nous suspendent déjà à nos ordinateurs tellement elles sont réussies.
Avec le soleil qui nous réchauffe en ce moment, on s'imagine très bien habillée en
Burfitt.
Pour nous les petites françaises, une bonne nouvelle :
Burfitt ouvre son
e-shop dès le premier mai et nous permettra de commander en ligne ces pièces magnifiques !
De quoi faire des folies...
Alors rendez-vous sur
http://www.burfitt.com/

Aujourd'hui je vais parler de vous
messieurs !
Suite à de nombreuses réclamations et à des questions posées pour résoudre vos problèmes de look...
Hier, un de mes ami (au style vraiment travaillé mais restant simple) m'a posé une question :
"
Comment tu te positionnes toi par rapport aux bretelles?"
Au début j'ai rigolé, ne comprenant pas le côté dramatique de la question !
Puis j'ai réfléchi au retour de l'
élégance masculine :
nœud papillon,
cravate,
pochette en soie...
Et je pense que le "
Dandy" fait son retour mais il est
faussement négligé.
Attention toutefois à ne pas en faire trop... pour ne pas paraitre déguisé !
Mais c'est vrai qu'un homme bien sappé c'est très agréable...
Commençons avec les bases :De belles
chaussures en cuir et une petite
veste déjà.



Ensuite il y a les accessoires :Les plus simples à porter restant le
nœud papillon (bon pas non plus le bien ringard vert à motifs...) la
cravate fine et le
chapeau.
Ensuite, pour les plus audacieux, à porter avec des pincettes il y a aussi les
bretelles, la
pochette en soie, le
col à jabots...
Mais, à mon avis, c'est un peu difficile à mettre tous les jours et à doser...

Mais , ce qui est quand même le plus important, c'est de rester naturel, en accord avec sa personnalité... et parfois le dandy qui est en vous messieurs émane d'on ne sait où.
Et c'est là qu'il est le plus beau !
En témoigne le magestral Gainsbourg et sa classe non égalée.

En ce moment, au
Musée de la Marine, se tient une exposition géniale que je vous recommande :
Les marins font la Mode.
Elle retrace l'histoire de cet uniforme mythique et son influence sur les créateurs de mode.
Quand je vous dis "
marinière" vous pensez à
Jean Paul Gaultier.
Mais vous allez voir que toute la
mode se réfère à un moment ou à un autre à la Marine.
Que ce soit les vareuses, la rayure, le bleu vif , le béret à pompon, les boutons dorés, les ancres...
Nous avons tous dans notre placard quelque chose qui fait référence aux marins !
-L'exposition :Je vous conseille de faire un tour sur le
blog consacré à l'exposition :
www.musee-marine.fr/blog/-Inspiration :


J'ai récement découvert une marque spécialisée dans le tee-shirt :
Denim Gallery Biarritz.
Et je dois avouer que j'ai tout de suite succombé...
C'est vraiment l'endroit pour trouver
LE tee-shirt !
Et l'enseigne ne manque pas d'arguments :
La production est
éthique : 90% de la collection est réalisée en coton organique.
Le tee-shirt est pensé comme support à
message intelligent : qu'il soit
engagé: en partenariat avec des associations comme
Free Tibet,
Handicap International..., décalé (
"who's the fuck is Prada?"),
actuel (
"my black president").
La marque travaille aussi en collaboration avec des
artistes:
Alexandra Gaita (
"Serge", "Amy"),
Sylvie Laigneau ( "
rainbow" et "
flag") mais aussi
Leslie David,
Dyane de Sérigny .
Denim Gallery c'est
LE paradis du tee-shirt : du basique à l'oversize, du loose au tee-shirt à épaulettes... chacun peut trouver le sien.
La qualité est vraiment exceptionnelle, plus on les lave plus ils sont beaux !
Vraiment un grand coup de coeur pour cette marque !
Alors je n'ai qu'un conseil : Foncez sur le site !
www.denimgallery-biarritz.fr

La semaine dernière, j'étais donc à
Londres pour fêter mon anniversaire avec mes copines Marie et Juliette.
Ce fut 5 jours pleins de
shopping, de
bonnes adresses, de
bons plans...
Je voulais partager tout ça avec vous.
C'est parti !
Vendredi 10 avril :Arrivée à l’aube à Londres.
Nous avions réservé dans une auberge de jeunesse géniale située à 15 minutes à pied d’
Oxford street et à 8 euros la nuit !
C’est le
Tony’s house hotel (
30 Norfolk Square).
Nous étions dans un dortoir 6 personnes avec dressing, table pour manger, frigo, micro-onde, bouilloire, télé avec un lecteur dvd… Et le petit-déjeuner et les grignotages fournis à volonté !
Franchement si vous devez choisir une auberge, je vous recommande celle-ci.
Pour en avoir testé beaucoup, je dois dire que celle-là est géniale et à ce prix là c’est fou.
En plus Tony, le propriétaire, est super sympa et vous donne des bonbons chaque fois que vous le croisez….
Les sacs posés, nous n’avons pas pu résister à l’idée de se lancer directement dans une session shopping !
Direction
Topshop bien sûr !
Comme à chaque fois, c’est le rêve.
Des merveilles à chaque coin de rayon.
Mais je dois dire quand même que
Topshop exagère quand même un peu sur les prix !
Un peu frustrée, nous avons donc décidé d’aller pour la première fois chez
Primark.
Je n’étais jamais rentrée dans cette enseigne pensant que c’était l’équivalent de notre Tati français.
Et là, c’était fou !
Des jupes à 7£, des ballerines à 4£, des sacs à 5 £ !!!
Imaginez la taille de notre panier…
Je suis sortie de là avec 1 paire de babies rouges, 2 paires de ballerines, 2 jupes, 1 sac pochette en osier, 1 short, 1 paire de mocassin léopard… Pour 40 £ !
Le soir, nous nous sommes baladés dans
Soho et nous avons fait un tour au
Black Market pour acheter des tee-shirts pour nos amis.
Samedi 11 avril :Après une bonne nuit de sommeil, on est repartie !
Direction
Carnaby street, sa rue piétonne et ses boutiques très sympas.
Puis le «
mini-quartier chinois » où nous avons déjeuné dans un restaurant délicieux !
Situé à l’angle de la rue, une petite échoppe verte avec une cuisinière en vitrine en train de faire des raviolis à la main.
Nous nous sommes régalés de raviolis vapeur et d’une soupe de nouilles aux légumes.
Le soir nous avions envie de nous balader un peu.
Pour découvrir la ville le plus possible, nous ne prenions que le bus afin de pouvoir apercevoir un maximum de quartiers, ou nous nous rendions à pied aux endroits choisis.
(
Petite astuce pour le bus et le métro, prenez à votre arrivée la Oyster Card qui est rechargeable et qui vous fait payer moins cher les trajets)
Nous nous sommes donc promenées sur les quais de la
Tamise de
Tower Bridge aux
docks Ste Catherine.
L’ambiance était vraiment très sympa !
Et
Big Ben a sonné les douze coups de minuit de mon anniversaire !
Un rêve…
Dimanche 12 avril :
Journée un peu spéciale à cause de mes 25 ans tout frais !
Les filles m’avaient prévu une journée pleines de gages et m’avaient couronné de jaune et de vert, Catherinette oblige !
Nous avons déjeuné au
Burger King de
Leicester Square pour retrouver nos souvenirs d’enfance où l’on mangeait des Whoopers !
Puis direction le
Spitalfields Market (
metro Liverpool Street) où de jeunes créateurs vendent leurs pièces.
C’est vraiment à voir !
Il y a des choses fabuleuses et pas très chères.
Après petit détour aux génialissimes frippes
Absolute Vintage et
Blondie (
Commercial street) où l’on déniche de véritables trésors !
Après, changement de décors : on fonce à
Camden Town, le quartier rock et punk (selon le Routard) où Juliette rêvait d’aller depuis notre arrivée.
C’était super : le quartier est super beau, entre les
magasins atypiques, le marché
vintage couvert, les berges des petits canaux…
Ça vaut vraiment le détour pour les accros de
vintage : il y a des vêtements, accessoires, meubles, décorations… Et de nombreux stands de nourritures de tous les horizons !
Une escale chez l’inclassable
Cyberdog : dans une ambiance fluo et techno, des vêtements et accessoires sortis de la 3e galaxie !
Le soir nous avons remis les voiles dans le quartier avec un pub extra : le
World's end (
métro Camden Town)
Situé juste à la sortie du metro.
Ambiance éclectique, rock, indé, que de jeunes Anglais branchés, bonne musique…
Et la boîte du bar, le
Underworld, est une des meilleures de Londres.
Lundi 13 avril :
Il fait beau !
C’est fou pour
Londres ! ça change complètement la ville.
Nous sommes allées à
Notting Hill nous balader et manger de délicieux
cupcakes chez
The Hummingbird Bakery (
133 Portobello road).
En rentrant dîner à l'auberge, nous avons fait un tour dans
Hyde park avec tous ses petits écureuils…Que Juliette n’a pas eu de mal à approcher !
Le soir nous avons pris un verre dans le centre ville.
Mais attention, l’inconvénient à
Londres c’est que les bars ferment vers 23h30 et les boites à 2 heures… Il faut donc sortir tôt si on veut profiter de la vie nocturne !
Mardi 14 avril :
Dernier jour à Londres.
Nous avons décidé de finir nos dernières livres en faisant du
shopping.
Je suis allée chez
Bik Bok (
181 Oxford street) dont je vous avais parlé dans un précédent article.
J’avoue que j’ai été un peu déçue… Il n’y avait pas grand chose en rayon. Je suis sortie bredouille alors que les photos de la campagne de pub me donnaient vraiment envie !
Ensuite
Urban Outfitter avec des pièces vraiment belles mais hors de prix quand on compare avec les boutiques américaines…Je pense que les Anglais ont eu un petit problème quand ils ont converti les prix du dollar à la livre !
Un dernier petit tour chez
Topshop et
Primark où nous avons encore fait chauffer la carte bleue…
Puis retour épuisées à Paris.
A suivre, dans un futur article, les trouvailles
jeunes créateurs...


Ces bijoux sont paradoxales,presque comme des ovnis...
Ils allient la finesse de la dentelle au côté brut et puissant du bois travaillé en couche.
Et ils sont réalisés dans des matières acryliques ressemblant à du plastique.
C'est donc assez troublant comme pièce, on perd presque ses repères quand on touche ces bijoux.
Cette jeune créatrice d'origine japonaise puise son inspirations partout : à la fois dans la mode des arts-déco que dans l'iconographie des cartoons japonais, les nuages, les chandeliers, les napperons...
Elle avoue également créer des pièces par pur accident: en expérimentant des mélanges et des techniques.
Retrouvez
Kyoko Hashimoto sur
kyokohashimoto.blogspot.comLe résultat est surprenant: à la fois fort et poétique, délicat et robuste...
Une pure merveille !
Hier, j'ai eu la joie de recevoir un mail de
ELLE.fr me disant qu'ils avaient publié un article sur mon post "
Ema tricopathe".
Je suis très honorée et je voulais partager ça avec vous.
MADEMOISELLE QUINCAMPOIX : "LA TRICOPATHE"
"Cette année, la tendance est au grand retour du tricot et du fait maison" nous explique Mademoiselle Quincampoix. Elle revient sur la sortie récente de la marque "Wool and the gang", qui propose des kits de vêtements à tricoter soi même et qui avait fait du bruit dans la blogosphère de modeuses.
Aujourd'hui, Mademoiselle Quincampoix nous fait découvrir les créations d'Emmanuelle Esther qui réalise des "bijoux tricotés". La blogueuse nous raconte qu'"Emmanuelle Esther se qualifie même de « tricopathe » tellement les aiguilles sont un prolongement de ses doigts". Dans les bijoux qu'elle crée, elle cherche le paradoxe entre "branché" et "ringuard" tout en s'engageant : « faire un bijou comme une pièce artisanale faite avec amour au milieu d’un monde industrialisé ». La blogueuse nous montre également sur son blog des performances artistiques, auxquelles Emmanuelle Esther participe, où elle baptise les arbres ou les lampadaires avec des messages tricotés.
La blogueuse se réjouit de cette trouvaille : "Et l’alchimie se crée. La laine devient or". Elle apprécie aussi le côté enfantin justement dosé de ses créations. Pour tout savoir sur Emmanuelle Esther et son univers, rendez-vous sur le blog de Mademoiselle Quincampoix…

Cette année, la tendance est au grand retour du
tricot et du "
fait maison".
Telle une araignée tissant sa toile, nous avons ressorti nos aiguilles et pelotes, piégés dans un labyrinthe de fils…
Les aiguilles et les doigts s’entrecroisent, les mailles se forment dans une spirale frénétique…
Le concept prend une ampleur exceptionnelle. De nouvelles marques ont vu le jour comme "
Wool and the Gang" qui propose des kits de vêtements à tricoter soi-même (fournis avec modèle, laine et aiguilles).
Emmanuelle Esther s’inscrit dans ce mouvement avec ses collections de
bijoux tricotés.
Traditionnellement réalisés avec des matières nobles : or, argent, pierres précieuses... , il est presque paradoxal de concevoir des bijoux avec des matériaux bruts.
Emmanuelle Esther est une jeune créatrice ayant déjà 5 collections à son actif avec un point commun : le
tricot ! Elle se qualifie même de «
tricopathe » tellement les aiguilles sont un prolongement de ses doigts.
Sa collection se décline en colliers, bagues et serre-têtes toujours tricotés à la main en mohair, laine et lurex.
Et l’alchimie se crée. La laine devient or. Le bijou unique.
C'est à la fois un retour à l enfance où l on apprenait à tricoter en point mousse avec sa grand mère mais aussi un accessoire décalé ayant une élégance subtile.
Loin d’elle l’idée de nous faire ressembler à des poupées de porcelaine.
Pourtant ses nœuds, ses pastilles et tourbillons appellent la nostalgie. Celle de la petite fille modèle qui a grandi, qui veut être fille sans être trop femme, qui sait jouer avec les codes et les convenances…
Son mot d’ordre est le paradoxe entre le «
branché » et le «
ringard ».
Mais au-delà du concept «
handmade » se cache un réel engagement de la créatrice : «
faire un bijou comme une pièce artisanale faite avec amour au milieu d’un monde industrialisé ».
Emmanuelle Esther participe également à des
performances artistiques où elle baptise les arbres, les lampadaires et les bancs d’étandars à messages tricotés.
Comme s’il fallait laisser une trace de son passage…
Retrouvez les créations d'
Emmanuelle Esther sur son site :
www.emmanuelle-esther.comet dans le dernier numéro de Jalouse (page 48).
Mais aussi avec le Collectif France Tricot qu'elle a créé avec Poupe & Sosso et Cépourtoi Factory
:
www.myspace.com/c_f_t


Aujourd'hui, nous avons rendez-vous dans le dressing de Blondie.
Cette jeune photographe parisienne nous ouvre les portes de son armoire rock et "homemade" et nous donne ses petits trucs...
Elle est un peu collectionneuse : vêtements, lunettes etc...
Bref, on rêve de la croiser avec son polaroid au détour d'une rue parisienne !

"Je suis une photographe de 25 ans qui essaye tant bien que mal de survivre dans la jungle parisienne , j'aime me balader avec mon polaroid sous le bras pour capter chaque jolis moments qui se présentent à moi , j'ai une obsession de customiser mes fringues (à la base je suis styliste ) je coupe , je déchire , je fais pleins de trous (oui c'est ma spécialité! ^^)
les vêtements je les aime à la folie, j'adore mélanger les choses et les couleurs qui ne vont absolument pas ensemble , je suis folle raide dingue de l'imprimé léopard du noir en général et une cinglée des lunettes si possible sans verre ;) et puis que dire de plus
que je suis heureuse de pouvoir vivre de ma passion même si ce n'est pas tous les jours rose! mais je m'éclate et c'est ce qui compte le plus pour moi...!
Ah oui et puis je suis d'une nature angoissée et stressée , mon sac est remplie de gri-gri , d'huiles essentielles pour essayer de me détendre car je déteste la foule , être enfermée dans le métro ou dans des endroits confinés , je suis une fille de la mer c'est peut-être aussi pour ça que je ne me sens bien que quand je suis en Bretagne dans mon univers , avec un AIR PUR!..."


Dire Merci !
13 Apr 2009 2:00 PM (16 years ago)

Vous en avez surement deja entendu parlé...
La nouvelle boutique "Merci" et son concept génial a ouvert.
Le principe : Bernard et Marie-France Cohen ont pensé ce concept-store comme un lieu d'échange : les créateurs font don de leurs collections et la boutique les revend à prix intéressants.
La recette est ensuite reversée à un fond de dotation, qui se donne pour mission d’aider les enfants défavorisés, notamment sur l’île de Madagascar.
Et dans cette "caverne d'Ali baba chic" on trouve de tout: du vintage, des pièces créateurs, de la vaisselle, du mobilier, des fleurs...
Il y a même un café !
L'occasion de se faire plaisir et de faire une bonne action.
www.merci-merci.com
Merci : 111 bd beaumarchais 75003 paris
jonytoy
12 Apr 2009 2:00 PM (16 years ago)

Une ambiance rock/glam/sanglante...
de belles sérigraphies souvent dégoulinantes...
des illustrations tops...
Voila le cocktail
Jonytoy !
Chaque modèle est unique et sérigraphié à la main.
Pour homme et femme.
Le plus dur, je pense, c'est d'en choisir qu'un seul...
Où les trouver?
Chez la fine fleur de la jeune création :
Mademoiselle Urbaine (
www.mademoiselle-urbaine.com )
Et retrouvez
Jonytoy ici aussi :
www.jonytoy.comwww.myspace.com/jonytoy