Concetta, son épouse,
ainsi que toute sa famille,
vous remercient du fond du cœur pour les preuves de sympathie
et d’affection que vous leur avez témoignées par l’envoi de fleurs, votre présence,
vos pensées, vos prières lors du décès de
Cristofero ARDILIO
Après les 16 mois ferme pour un coup de poing, voici les 25 mois ferme pour un coup donné avec le plat de la main. Ah les comparutions immédiates ! Celles de ce lundi 5 mai n’ont pas manqué de piquant mais pas en raison des faits jugés
Pour lire la suite :
MONTCEAU-LES-MINES
LAMEGO (Portugal)
Monsieur et Madame Alberto GONCALVES,
ont la douleur de vous faire part du décès de
de leur belle-sœur
Madame Aurora GONGALVES
née DE ALMEIDA BASILIO
survenu le 4 mai 2025 à l’âge de 86 ans.
Ses obsèques religieuses seront célébrées
le lundi 12 mai à 10 heures 00
en l’église Notre-Dame, suivies de la crémation.
Cet avis tient lieu de faire-part et de remerciements.
Fleurs naturelles uniquement.
La famille rappelle à votre souvenir son époux
Agostinho
décédé le 11/10/2024.
Nous remercions chaleureusement le personnel du Foyer Sainte-Marie
pour sa gentillesse et son dévouement durant ces quatre années.
P.F. Roc-Eclerc
10, rue Blanqui
03.85.57.55.54
71300 Montceau-les-Mines
Les dernières naissances à la maternité de l’Hôtel-Dieu au Creusot
Lina Jeanneret
Elle a poussé son premier cri le samedi 3 Mai, à 9h09, à la Maternité de l’Hôtel Dieu au Creusot. Arrivée avec une semaine d’avance, Lina pesait 2,890 kilos et mesurait 49,5 centimètres.
Sa maman, Audrey Nowakowski, qui a grandi à Montceau les Mines, est vendeuse. Son papa, Corentin Jeanneret, originaire de Genouilly, est agent de production. Le couple est domicilié à Blanzy et il ne fait aucun doute que Méline, qui aura 6 ans le 30 juillet, va stimuler l’éveil de sa petite soeur.
Du 1er au 4 mai, plus de 50 étudiants du site universitaire du Creusot se sont rendus en Italie pour participer à la 23e édition de l’Euro Milano. Ils et elles ont participé aux épreuves de cheerleading, beachvolley, volleyball, basketball et futsal. Il s’agissait de l’ultime compétition sportive internationale de cette année universitaire – une dernière occasion de briller, que les creusotins ont su saisir en décrochant or et argent !
Plus de 1000 étudiants d’une vingtaine de pays
Tournoi sportif étudiant d’envergure, l’Euro Milano a rassemblé cette année plus de 1000 étudiants venus d’une vingtaine de pays. Depuis sa première participation en 2022, le site universitaire du Creusot de l’Université Bourgogne Europe fait partie des habitués du podium, remportant chaque année une ou plusieurs médailles.
Lors de cette édition 2025, l’équipe de cheerleading a reconquis sa place de championne, après deux années en deuxième position. Elle réitère ainsi son exploit de 2022 ! L’équipe féminine de beachvolley n’est pas en reste, et remporte la médaille d’argent après 4 brillants matchs en 2 sets gagnants.
Battues en quart de finale, les équipes de basketball féminin, futsal féminin et volleyball masculin n’en ont pas moins disputé de beaux matchs, et remporté plusieurs victoires. L’équipe de futsal masculine est pour sa part arrivée en 11e position sur 18, tandis que celle de beachvolley masculin s’est inclinée en phase de groupe.
La dernière compétition internationale pour l’année 2024-2025
Cette escapade milanaise marquait pour les étudiants creusotins la dernière compétition internationale de l’année 2024-2025, après les Championnats du Monde Inter-Universités de Rome et les Students’ Games de Lausanne.
Une conclusion ensoleillée et riche en émotions, qui laisse déjà place à une nouveau challenge : celui des examens de fin d’année, qui débutent dès cette semaine dans certaines formations !
Bon courage aux étudiants et que le succès soit au rendez-vous pour la phase finale de leur année universitaire !
EM
MONTCEAU-LES-MINES
Tous ses amis
ont la tristesse de vous faire part du décès de
Madame Monique LIDOME
“Ancien professeur d’Histoire”
Ses obsèques religieuses seront célébrées
le samedi 10 mai 2025 à 14 heures 00
en l’église de Gourdon, suivies de la crémation au Creusot.
Cet avis tient lieu de faire-part et de remerciements.
P.F. Roc-Eclerc
10, rue Blanqui
03.85.57.55.54
71300 Montceau-les-Mines
Réunion de proximité à Blanzy
Hervé Mazurek, Maire de Blanzy et les conseillers municipaux sont à votre écoute.
mercredi 7 mai à 18h00
à la résidence Jean Rostand
Ce samedi 10 mai à 18h00 en l’église de Mont Saint Vincent, un concert avec un ensemble vocal KALYMNOS qui interprète des
chants des traditions du monde, plus précisément des chants polyphonique de tradition orale.
Ce 1er mai, Paray Le Monial Cyclisme organisait la Phoenix Road sur un circuit de presque 9kms. Laurine DUCOTÉ, notre championne départementale n’a pas vécu sa meilleure journée.
En effet, elle a souffert de la chaleur. Elle termine 18ème et 1ère féminine. Pas de doute, elle reviendra plus forte sur les prochaines courses.
Félicitations Laurine !!!
Lors de ce point presse, la ville a souhaité mettre en avant les actions qu’elle intensifie pour répondre aux problématiques des dépôts sauvages et des rodéos urbains, deux enjeux majeurs qui affectent la qualité de vie des habitants.
Ce fut l’occasion également de préciser le secteur et les actions du directeur de la tranquillité publique et de la sécurité de la vie quotidienne, Stéphane Perrigueur, qui a pris ses fonctions le 1er avril 2025.
La Maire précise qu’il a déjà pris en charge plusieurs dossiers : les dépôts sauvages, les gens du voyage, la problématique des rodéos, les biens sans maître, …
Elle explique qu’elle désire informer régulièrement la population sur ces sujets.
« La convention entre la Police Nationale et la police Municipale doit être signée. Une convention que l’on a ajustée par rapport à des situations spécifiques concernant les rodéos, les dépôts sauvages. On a mis un ajout sur le continum PN/PM et la justice. Ce sont des axes de réflexion que l’on propose. Le procureur signera la convention de base.
La Maire poursuit : «On a besoin de ce continum, pour les rodéos par exemple, afin de pouvoir perquisitionner dans les caves et saisir les véhicules. Il faut que la justice s’empare plus vite de ces problématiques ».
Pour rappel, la pratique des rodéos urbains exposent les auteurs à des peines lourdes : un an d’emprisonnement et 15 000€ d’amende avec des peines complémentaires, la confiscation des véhicules, la suspension ou l’annulation du permis.
Le chef de la police municipale, Stéphane Fel, confirme deux interpellations, réalisées par la police national, pour rodéo urbain ces derniers jours : un scooter et un quad ont été saisis.
Une procédure se met en place pour lutter contre les dépôts sauvages.
Stéphane Fel informe que 5 interpellations ont été réalisées depuis début avril : les auteurs ont été convoqués, entendus et ont reçu des amendes : 2 X 90€, 1 X 800€ et 2 X 200€.
Ces amendes entrent dans la catégorie des amendes administratives qui peuvent monter jusqu’à 1 500€.
Le ramassage de ces dépôts est l’affaire d’une coordination entre la ville, la CCM et la régie des quartiers.
La municipalité encourage les citoyens à appeler Allo Montceau 0 800 071 300.
La ville veille à maintenir un dialogue ouvert et constructif avec les gens du voyage afin de permettre à chacun de vivre dans un climat serein.
« Pour l’heure, on ne répond pas aux rassemblements de moins de 40 caravanes. L’aire rue de Nancy n’est plus opérationnelle, en accord avec la CCM. Ce site était régulièrement dégradé, saccagé. Nous étudions la possibilité d’un autre lieu. Le 16 mai, nous devons rencontrer un propriétaire pour étudier la possibilité d’établir une nouvelle aire avec des dalles bétonnées pour les véhicules, l’accès à l’eau et à l’électricité.
Par contre, nous sommes en conformité sur l’aire de grand passage à Saint-Eusèbe, pour les rassemblements plus importants mais les utilisateurs potentiels ne souhaitent pas s’y installer en raison de l’éloignement des commerces.
S’il y a occupation illicite, il faut engager un référé et avoir recours à la force publique pour contraindre de rejoindre l’aire dédiée ».
La ville envisage de mettre en place le dispositif de « panneaux pocket » afin de renforcer la vigilance collective.
« C’est un outil qui permet aux adhérents de diffuser en temps réel et de diffuser des informations urgentes à la mairie de Montceau qui fera suivre ces informations sur les panneaux lumineux : alertes concernant la circulation de faux billets, signaler des démarchages suspects, ou autres informations importantes », explique Stéphane Perrigueur.
Pour être complet, Gérard Gronfier ajoute que 67 caméras sont installées en la ville et forme un maillage important. « C’est un atout qui va faire baisser la délinquance. 24 affaires ont été élucidées en 2024 et 12 pour le début de 2025, grâce à ces caméras de vidéo-surveillance.
La Maire en appelle à la vigilance citoyenne et encourage la population à signaler tout comportement suspect à la police municipale au 03 85 67 68 28.
J.L Pradines
9 montceaugymnastes étaient qualifiés pour les Championnats de France individuels niveau Performance. Les résultats obtenus permettent de confirmer que le cru 2025 est de qualité avec de belles promesses pour la suite de la saison et les années à venir.
️ Nationale 10ans GAF: Elena CURTIL 16ème
️ Nationale 11ans GAF: Calista MEULIN 52ème
️ Nationale 12ans GAM: Gabin KLEIN 33ème et Noa BELIOT 45ème
️ Nationale 13ans GAF: Louise BONNARD 49ème
️ Nationale 13ans GAM: Enael DERANGERE 29ème
️ Nationale B 14ans GAF: Lola MEUNIER 30ème
️ Nationale 18ans GAM: Alexis VAL 18ème
️ Finale Sol: Pablo AYUSO 2ème
Bravo à tous les gymnastes pour le travail proposé durant ce week-end. Il reflète le sérieux et l’implication de chacun dans son projet.
Un grand merci à tous les supporteurs présents durant ce week-end de compétition – votre soutien est précieux
Tous les gymnastes sont désormais « focus » sur les Championnats de France par équipes qui approchent à grands pas.
AYUSO Damien, Président
« Il est gentil » dit de lui son avocate – qui ne le dirait pas de tous ses clients. Il est gentil, il est « travailleur », mais il est aussi alcoolique et dans la nuit du 30 avril il a donné un coup de poing dans le nez de sa copine, et il a pris 16 mois de prison ferme.
Ce lundi 5 mai, l’audience de comparution immédiate démarre fort. On va expliquer selon quelle logique la peine s’est construite.
Le prévenu, né à Saint-Vallier, est un homme âgé de bientôt 40 ans. Il vit chez sa mère, mais entretient depuis 3 ans une liaison avec une femme. Liaison qualifiée de « toxique » vu les différentes mains courantes, vu les disputes quasi systématiques, vu les éclats violents parfois, et enfin, vu des consommations d’alcool de part et d’autre.
Les faits
Dans la nuit du 30 avril au premier mai, il était chez elle, à Montceau, ils se sont disputés. Elle lui à mis une gifle, il a répondu par un coup de poing, dans le nez. Les policiers interviennent, il était parti. Le procureur relèvera qu’il part toujours après une scène. Bref, la femme est là, dit que « c’est lui », que c’était volontaire, etc. Le lendemain elle changera de version, mais le lendemain l’homme est cueilli chez lui et placé en garde à vue.
Ce sont des violences sans incapacité mais le prévenu est en état de récidive légale. Il était en sursis probatoire, avec des soins pour parvenir à se sevrer de l’alcool. « J’ai eu un moment d’abstinence, mais j’ai fait une rechute il y a deux semaines. » Sa mère, dit le procureur « est tombée des nues » en apprenant que son fils buvait trop. « Ma mère est anti-alcool, alors je ne bois pas chez elle. »
C’est un homme en difficulté. Il a des dettes de loyer importantes et cette addiction qui lui coûte chez absolument sur tous les plans.
16 mois ferme requis
Le procureur dit bien que cette femme qui a appelé la police, le fait régulièrement mais ne donne jamais suite. Un jour, elle affirme qu’elle veut quitter cet homme, le lendemain elle assure qu’elle veut continuer avec lui.
Le magistrat relève « un antécédent de violence sur conjoint » et « un antécédent qui fait la récidive ». Il requiert une peine de 18 mois de prison dont 12 mois seraient assortis d’un sursis probatoire de 2 ans avec maintien en détention pour la partie ferme, ainsi que les révocations des deux derniers sursis prononcés (en 2022 et en 2023) soit 4 mois et 6 mois avec incarcération immédiate.
« Etes-vous obligés de mettre autant de mois de prison ? »
Maître Bouflija trouve les réquisitions « extrêmement lourdes » et motivées « uniquement par son casier judiciaire » (4 mentions). « On lui reproche un coup de poing donné en réponse à une claque, dans un contexte d’alcoolisation massive des deux. Il ne se rappelle pas de tout, mais accepte de reconnaître. Il souffre d’alcoolisme. La rechute fait partie du processus de soin. Mais malgré tout, il a fait beaucoup d’intérim, il a des CACES, il ne fait pas rien. Est-ce la peine d’avoir une peine aussi lourde ? Etes-vous obligés de mettre autant de mois de prison alors que le profil de monsieur est plutôt rassurant ? »
Le prévenu a la parole en dernier : « Je veux arrêter ma relation avec elle, me soigner, et me relancer dans la vie professionnelle. »
« Le tribunal a tenu compte de votre personnalité, des efforts que vous avez fournis… »
Le tribunal le dit coupable. « Le tribunal a tenu compte de votre personnalité, des efforts que vous avez fournis, et du cadre dont vous avez besoin, mais aussi de la réitération pendant un sursis probatoire. »
Qu’aurait été la peine si le tribunal n’avait pas tenu compte de tout ça ? Elle est de 16 mois ferme en tout.
Il a dix jours pour faire appel
12 mois dont 6 mois sont assortis d’un sursis probatoire, avec obligations de travailler, de suivre des soins, et interdictions de contact avec la victime ainsi que d’aller chez elle ainsi que de fréquenter les débits de boissons. Maintien en détention pour les 6 mois ferme.
A quoi s’ajoutent les 4 mois et les 6 mois de révocations de sursis avec incarcération immédiate.
Il devrait faire appel de cette décision.
FSA
Ce lundi soir, la candidate de la 5ème circonscription de Saône et Loire pour les élections législatives partielles, Marie-Claude Jarrot, Maire de Montceau-les-mines et son suppléant Louis Margueritte, directeur de cabinet adjoint du Premier ministre, ont tenu une réunion publique au centre nautique devant une cinquantaine d’auditeurs.
Louis Margueritte a ouvert les prises de parole.
« Pourquoi voter Marie-Claude Jarrot ? C’est important pour le pays, pour Montceau. Le pays a besoin de stabilité, d’apaisement. La réalité est pleine de complexités et de nuances que l’on ne retrouve pas aux extrêmes. On a l’occasion de retrouver un député au service de la circonscription.
Député, on a sa liberté de ton. Marie-Claude a cette liberté de parole qu’elle utilisera dans trois semaines ! »
Puis l’ex-député a retracé la genèse du dossier du futur nouvel hôpital.
« On n’a pas lâché. On l’a obtenu. Si vous voulez la brigade de gendarmerie à Lux, c’est Marie-Claude qu’il faut soutenir. Je serai derrière comme suppléant, actif, dans la position que j’occupe depuis que j’ai rejoint Paris.
On est 9 sur la ligne de départ. C’est une bonne chose que le PS se détache de LFI qui est un problème autant que le RN. On ne peut s’extraire de l’histoire de son parti. Si on ne veut pas du RN à la tête de la circonscription, c’est Marie-Claude Jarrot qu’il faut voter, dès le 1er tour ».
Puis, M.C Jarrot a enchaîné…
La Maire a remercié les élus fidèles présents, les jeunes, les indécis et les moins jeunes.
« Votre présence est un message : nous sommes là, unis, prêts à construire l’avenir. Et notamment celui qui commencera dès le lendemain du second tour des élections législatives ».
La candidate a rappelé les qualités de L. Margueritte, « un homme engagé, compétent, enraciné dans notre territoire » et leur parcours commun.
« Nous avançons ensemble depuis trois élections législatives, non pas par opportunisme, non pas par convenance, mais par conviction.
Notre binôme a été construit en direction d’un territoire, d’un projet, d’une vision. Avec Louis, nous avons toujours préféré, et cette fois-ci plus encore, le travail aux calculs de quelques barons locaux désireux de conserver leurs places ou de ne pas avoir une députée dans leur entourage.
Nous avons toujours préféré le sérieux à la facilité de quelques hommes politiques qui se mettent à trois contre une candidate, par définition une femme, qui risquerait de gêner. Nous avons toujours préféré la fidélité à l’opportunisme ».
Avec cette annulation de scrutin, M .C Jarrot prend le parti de poursuivre ce qui avait été commencé : « porter le projet que nous avions construit avec vous et pour vous, pas par habitude, pas par ambition personnelle mais par cohérence, par devoir et par respect pour votre confiance parce que nous croyons qu’un projet pour une circonscription ne peut se bâtir ni dans l’improvisation ni dans l’inaction ».
La candidate a ensuite listé les priorités du projet.
« Ce qui compte, c’est de vivre en sécurité, de travailler dignement, d’avoir un médecin pas loin de chez soi, de voir nos jeunes rester ici, d’avoir des services publics accessibles, d’habiter des villes vivantes et des campagnes qui respirent.
C’est tout cela que nous défendons : la sécurité, la valeur travail, ceux qui tiennent la circonscription debout, l’accès aux soins et les solidarités.
À aucun moment, M.C Jarrot n’a prononcé le nom des autres candidats mais cependant, plusieurs messages subliminaux ont été adressés à certains…
La candidate appelle l’assistance à la rejoindre : «Donnez-moi votre confiance pour porter notre voix, pour défendre notre fierté, pour agir concrètement en faveur de nos valeurs. Des valeurs qui ne sont pas celles des extrêmes. Des extrêmes que je sais être la seule candidate à pouvoir combattre. Et tout ce que je vous dis ce soir, ce ne sont pas des promesses en l’air. C’est le fruit de 20 ans d’engagement public, de 11 ans de poste de maire, de combats locaux et de responsabilités nationales menés chaque jour.
Avec Louis Margueritte, nous formons un binôme solide, expérimenté, fiable.
Nous ne sommes pas là pour faire carrière. Nous sommes là pour vous servir. Vous écouter. Vous représenter. Vous défendre. Et rendre l’impossible possible.
En politique, l’impossible n’existe que pour ceux qui manquent de courage.
Il s’agit d’oser, de convaincre et de gagner.
Alors je vous appelle à vous mobiliser.
Ensemble, remettons du bon sens au cœur de la République ! »
J.L Pradines
CENTRE LECLERC MONTCEAU LES MINES
AVENUE MARÉCHAL LECLERC
03.85.67.70.70
Publi-reportage (Annabelle Berthier 06 70 17 21 49)
De la Présidence de Framatome à celle d’EDF… C’est une promotion XXXXXL que l’Etat vient d’offrir à Bernard Fontana. Cet ami du Creusot a restructuré le nucléaire français, lui a redonné ses lettres de noblesse à l’international, sous le nom de Framatome, et tracé ses perspectives d’avenir à plus de 40 ans. Une vraie assurance vie pour l’industrie au Creusot, à Chalon-sur-Saône et à Montbard. Décryptage.
Ce samedi 3 mai, le bassin de Villeurbanne a accueilli une nouvelle édition du meeting national de natation, rassemblant de nombreux clubs et nageurs venus se mesurer sur différentes distances. Montchanin Natation était représenté par 4 nageurs.
Valentine Pretet, Thomas Neufond, Valérie Pirrat et Cathy Demontfaucon, ont effectué un week-end globalement satisfaisant. Plusieurs temps encourageants ont été enregistrés, avec une mention spéciale pour Valérie Pirrat, qui a décroché sa qualification aux Championnats de France N1 Master à Mulhouse, sur deux épreuves : le 200 mètres dos et le 50 mètres nage libre ainsi que Cathy DEMONTFAUCON qui se qualifie également sur 200 brasse. Des épreuves que se rajoutent à leurs qualifications déjà acquises.
Les nageurs repartent de Villeurbanne satisfaits de leur journée.
Rendez vous à Nîmes pour le meeting national qui se déroulera en parallèle des championnats de France master N2 où Manon Padey défendra son titre au 50dos et visera une qualification pour les N1.
Moment festif pour les ceintures noires du club.
Dans le cadre du cercle des ceintures noires du club, l’AD 71 organise 3 ou 4 activités par saison à destination des ceintures noires du club.
Cette ceinture noire est plus qu’une simple ceinture , elle véhicule des valeurs morales et de partage , la ceinture noire, c’est aussi savoir transmettre par le partage et l’échange.
Activité dégustation ce jour auprès du domaine Montbarbon à Viré , partenaire du club, Jean Jacques Feral, le patron étant lui aussi ceinture noire et licencié au club .
Après une visite du domaine avec les explications complètes de la fabrication du vin, place à la dégustation accompagné de petits fromages locaux .
A l’issue, toutes les personnes ont apporté quelque chose à manger, repas partagé entre tous qui a permis des échanges, des discussions, des rigolades dans un cadre autre que le tatami en kimono.
Merci à tous les participants et au domaine Montbarbon pour l’excellent accueil
Jean-Pierre Perrier, professeur de tennis au CSL Tennis de Saint-Vallier a suivi récemment une formation avec la Ligue pour le Sport – Santé.
Il propose donc deux rencontres pour les personnes qui ont besoin de pratiquer du sport pour améliorer leur vie .
Rendez-vous sur les courts de Saint-Vallier,
→ vendredi 9 mai à partir de 14h ( tennis fauteuil)
→ et samedi 10 mai à partir de 15h30.
Pour joindre J.P Perrrier : 06 40 34 17 46
Ce lundi 5 mai, les avocats du barreau de Chalon-sur-Saône se sont rassemblés, avec la PJJ, comme leurs confrères partout en France, et nombre de magistrats, pour dénoncer les dispositions du projet de loi dite « Attal » concernant la justice des mineurs.
Aux parlementaires de s’opposer aux dispositions de la proposition de loi
Benoît Diry, nouveau bâtonnier, a donné lecture de la motion adoptée par le conseil de l’ordre du barreau. « Le Code de la Justice pénale des Mineurs (CJPM) est récent, est l’aboutissement de dix ans de travaux et d’études, il reprend le principe de la primauté de l’éducatif sur le répressif, et ces dispositions sont conformes à la Constitution et aux engagements internationaux de la France. »
En effet, ce code date de mai 2021 ! Il contient tout ce qu’il faut pour intervenir en fonction des nécessités. Pourquoi réformer trois ans plus tard ? A quelles fins ?
« On fait croire à la population que… alors que »
Nordine Latrèche est éducateur à la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) et co-secrétaire du SNPES-FSU du territoire 21 et 71 : « En termes de sanctions, on fait croire à la population qu’on manque de peines alors qu’on les a toutes. Beaucoup de jeunes sont en centres éducatifs fermés (CEF) et beaucoup sont incarcérés. La loi telle qu’elle existe depuis 2021, permet de juger vite, sous dix jours, permet de placer un mineur en détention provisoire, aussi. »
Les rapports de la PJJ sont des pièces essentielles dans les procédures puisque l’idée reste de juger au mieux, c’est-à-dire de faire preuve de discernement quant aux évolutions de certains, à l’obstination d’autres, etc.
« La loi de 2021 est équilibrée : l’éducatif prévaut mais le répressif y est renforcé »
Maître Agnès Ravat-Sandre, membre de la conférence des bâtonniers, y est chargée des questions relatives aux mineurs : « Le barreau de Chalon a pris une motion, à l’instar des autres barreaux, qui reflète l’inquiétude des avocats face aux grandes lignes du projet de loi dit Attal qui veut supprimer ce qui est au principe de la justice des mineurs : la primauté de l’éducatif sur le répressif.
La loi de 2021 est équilibrée : l’éducatif prévaut mais le répressif est renforcé. Ainsi le code pénal de la justice des mineurs respecte la convention internationale des droits de l’enfant, ainsi que les principes institutionnels et constitutionnels du pays. Il compte des moyens d’exceptions, pour faire face au cas d’exceptions : on peut placer un mineur en détention provisoire et le juger rapidement. Si l’atténuation de responsabilité pour cause de minorité est automatique, le tribunal pour enfant peut la rejeter, ce cas de figure existe déjà. Le projet de loi veut faire de l’exception une généralité ! »
Une raison structurelle s’ajoute à toutes les autres
« Vouloir des comparutions immédiates pour des mineurs ? Comment résoudre la question du consentement à être jugé selon cette procédure ? Réunir un tribunal pour enfant dans l’urgence ? Mais on manque de juges et de greffiers, on manque d’assesseurs. La profession s’élève d’une seule voix pour dire que ça n’est pas possible, y compris pour des raisons structurelles qui s’ajoutent aux autres. »
Le bâtonnier Diry ajoute à ce sujet : « On pourrait croire que renforcer le répressif pourrait être un moyen déguisé de contourner le manque de moyens éducatifs ici et là. Tout en créant, au final, la nécessité de nouveaux besoins ! »
Le projet de loi qui sera à compter de demain examiné en commission paritaire (composée de sept sénateurs et de sept députés) n’apporte rien à ce qui existe déjà, en revanche il en tue l’esprit. Cela ne serait pas sans conséquences sur l’ensemble des citoyens, le barreau de Chalon en est conscient.
Être vigilant, davantage, en ce moment, à ce qu’on veut
Pourquoi un projet de loi décrit comme inutile par les professionnels ?
« Mais Gabriel Attal veut sa loi » écrivait un grand quotidien national le 12 février dernier. A quoi tiennent les choses, décidément. A une vanité de carrière ? A des faits mal qualifiés de « divers » lorsqu’il s’agit de tragédies, dont s’emparent comme d’un prétexte (en en faisant donc un « fait divers »), l’instrumentalisant, les politiques. A un emboîtement avec l’air du temps ?
Ce mélange des discours est certes habituel et peut-être inévitable, mais il est toxique quand il conduit à affirmer qu’il faut « restaurer l’autorité de la justice », comme si celle-ci en manquait (ce n’est pas le cas) et comme si l’institution judiciaire elle-même ne faisait pas les frais d’une usine à gaz législative.
Tout ça pour dire que les politiques, parce qu’ils ont accès à toutes les tribunes, portent évidemment une grande responsabilité dans la promotion de tel ou tel discours, mais s’en déchargent un peu trop facilement.
En l’occurrence si des jeunes gens, des mineurs, ont des passages à l’acte parfois criminels, ça serait parce que l’institution judiciaire manquerait d’autorité ? C’est faux, et sous couvert de s’intéresser à l’institution, ce discours là ne lui rend pas service, en réalité. Et ça, c’est inquiétant.
À quelles fins ?
Peut-on, au nom d’une répression évidemment nécessaire mais dont on trouve déjà tous les moyens dans « l’arsenal législatif » comme on aime à le dire, renverser l’esprit qui gouverne la justice des mineurs, jusqu’à contrevenir ouvertement aux conventions internationales qui lient l’Etat français, et, enfin, mettre à mal un dispositif qui depuis 2021, a montré qu’il est opérant ?
Il n’est question, ici, ni de droite ni de gauche. La démagogie n’a pas de bord de prédilection.
Il est question de permettre, ou non, à une civilisation de se maintenir et éventuellement de croître, ou, à l’inverse, de l’écraser.
L’actualité de l’autre côté de l’Atlantique rend cette question brûlante, nous ne sommes absolument pas hors sujet de l’évoquer ici. Il convient d’être attentif, davantage que d’ordinaire, à satisfaire ce qui permet de faire société sans tuer ce qui porte de la vie, des possibles.
FSA
L’ignorance nous laissant toujours dépendants :
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/section_lc/LEGITEXT000039086952/LEGISCTA000039087859/
Montceau-les-Mines,
La Marre (39),
Ses filles ;
Sa petite-fille ;
Ses sœurs et ses nièces ;
Les familles parentes et ses amis ;
Ont la douleur de vous faire part du décès de
Madame Bernadette DUBOST
Née RAMPIN
survenu le 04 mai 2025 à l’aube de ses 97 ans.
Ses obsèques seront célébrées dans l’intimité de la famille.
Cet avis tient lieu de faire-part et de remerciements.
Condoléances possibles sur avis-de-deces.net
P.F. Roc-Eclerc
1, rue des Chavannes
71300 Montceau-les-Mines
03.85.67.10.10
Les faits sont d’une extrême gravité et auraient pu se terminer dans un bain de sang. Dimanche matin, pour des raisons que l’enquête de gendarmerie va s’effacer de déterminer, le ton est monté assez haut dans un bar de la rue de Paris à Autun.
Pour lire la suite :
Mais qu’est-ce qui a donc pu générer une situation de violence aussi importante ? La nuit n’est pas tombée le jeudi 1er Mai, en début de soirée, quand une altercation se produit, promenade des Marbres, sous le lycée militaire, à l’entrée d’Autun.
Pour lire la suite :
Montceau-les-Mines
Sylvie et Maurice Borrot,
sa fille et son gendre ;
Julien et Céline,
Cyril et Sylvie,
Christelle,
ses petits-enfants ;
Léo, Julia, Anaelle, Lyam, Luca et Morgane,
ses arrière-petits-enfants ;
Claudette,
sa filleule ;
ses cousins et cousines, ses amis,
ont la tristesse de vous faire part du décès de
Madame Monique NIVOT
née CHEVALIER
survenu à l’âge de 90 ans.
Monique repose à la chambre funéraire du bassin minier
37 avenue de Rugny à Montceau.
Ses obsèques religieuses seront célébrées
vendredi 9 mai à 9h30 en l’église Notre Dame.
La crémation au Creusot se fera dans l’intimité familiale.
La famille remercie le personnel de l’EHPAD Les Lilas pour sa
gentillesse et son dévouement.
Elle rejoint son époux
Georges
décédé le 03 novembre 2009.
Cet avis tient lieu de faire-part et de remerciements.
PF Brelau Montceau
03 85 58 70 97
Depuis mi-février 2024, « Graine qui s’aime » a ouvert ses portes à la Garenne, un projet porté par Clémentine Lardet qui propose des plants de légumes BIO et de fleurs auxiliaires et comestibles.
Clémentine poursuit son travail dans la même dynamique, en bio et avec des graines reproductibles.
La saison s’annonce bien. La serre est peuplée de plants de toutes sortes, d’une centaine de variétés de légumes et de fleurs : courges, courgettes, choux, salades, fenouil, aubergines, tomates, plantes aromatiques, …
Clémentine reçoit à la serre :
→ lundi et jeudi de 14h 00 à 18h 00
→ mercredi et dimanche de 10h 00 à 12h 00 et de 14h 00 à 17h 00
ou sur rendez-vous au 06 86 89 01 81
Clémentine est présente le samedi matin sur le marché de Montceau-les-mines,
Il est possible de consulter le site internet pour découvrir les différentes activités :
wwwgarenne-nature.fr
« Graine qui s’aime » – 27 rue Catelas – La Garenne – Saint-Vallier
Facebook : graine qui s’aime
J.L Pradines
Cela a commencé par le week-end avec la participation de Marius à la MSR Cup à coté de Blanot, malgré plusieurs plusieurs problèmes de crevaison, il termine à une bonne place sur un parcours exigeant.
Puis le lundi, c’était le TRJV au même endroit : Robin, Mathéo, Diego, Simon, Antonin et Joris ont défendu les couleurs du club pendant cette épreuve avec un XCO le matin et DH l’après midi sur une épreuve toujours aussi engagée.
Le jeudi, Noa, Diego, Mathéo, Simon, Robin, Arthur et Antonin ont suivi un stage de BMX sous la direction d’Eliott BAUD sur le terrain de BMX de la Grisière, juste à coté de l’espace sportif et loisirs Antoine Griezmann.
Le vendredi, départ pour l’Allemagne pour Antonin, Ezio, Titouan, Hugo, Jules, Timéo, Yoann et Marius avec la participation à une manche de coupe d’Allemagne de VTT le week-end à Hausach. Ils ont été accueillis par Thomas Freistein qui leur avait réservé des chambres dans une auberge de jeunesse qui n’est autre que le château d’Offenburg.
Le dimanche soir, direction Kaiserslautern, où Thomas est professeur d’EPS au gymansium Heinrich Heine où il dirige et entraîne la section de VTT régionale. La délégation française a pu participer a un cours d’EPS, un cours de français, 2 entraînements avec la section dans la grande forêt du palatinat, visité les structures sportives de l’établissement qui est également un pole national de vélo de piste. Retour le mercredi matin en France.
Pendant ce temps, les frères Castanedo ont participé à la coupe de France de VTT à Guéret les 25, 26 et 27 avril: Milan qui a croisé Loana Lecomte, dans sa catégorie en U7 et Giullian en U15 qui obtient une très belle 24 ème place dans cette compétition qui regroupe les meilleurs VTTistes de France.
Puis préparation des parcours par les bénévoles en vue de la manche de VTT XCO de Bourgogne Franche Comté organisée par le club le 11 mai de 9h à 17h. On en a profité pour accueillir le club de Tournus afin de reconnaître les parcours le samedi.
Et enfin pour terminer en beauté, Joris, Robin et Mathéo se sont rendus à Giromagny (90) pour disputer le 4 ème TRJV de la saison et Mathéo décroche la troisième place et monte sur le podium à l’issue des épreuves de XCO et descente de la journée.
Les équipes restent mobilisées et terminent de préparer les circuits pour la coupe qui aura lieu dimanche 11 mai à partir de 9h 30 au parc Saint-Louis.
Le club invite tous les montcelliens à venir découvrir cette manche de manche de coupe de Bourgogne Franche Comté qui s’annonce d’un niveau élevé et encourager tous les jeunes de Montceau VTT qui vont y participer.
Malgré une météo incertaine, ce sont près de 100 exposants qui ont investi la place Mazuet et l’allée Simone Veil pour le traditionnel marché aux puces populaires organisé par la Bouquinerie, ce dimanche 4 mai 2025.
José Donkers (La Bouquinerie) se montrait satisfait de cette édition du mois de mai qui a vu de nombreux visiteurs et chineurs en action.
L’ambiance était au beau fixe et ce sont de nombreuses bonnes affaires qui ont été conclues dans les différentes allées.
J.L Pradines
L’association Minéralogique du Bassin Minier (AMBM) a organisé ce week-end des 3 et 4 mai une nouvelle édition de sa traditionnelle bourse aux minéraux à la salle Bourdelle de l’Embarcadère.
« Pas de thème cette année », explique le président Didier Lartaud. « Chaque membre de l’association a apporté le minéral ou fossile de son choix à exposer dans les vitrines réservées à l’association.
Durant ces deux jours, la fréquentation a été bonne : les amateurs, les professionnels, les collectionneurs et les néophytes, de tous les âges, ont pu découvrir les différentes pièces et collections apportées par les 17 exposants, prospecteurs, acheteurs et revendeurs, venus de toutes les régions du pays.
Un des objectifs est de populariser les minéraux, les fossiles en espérant déclencher des vocations chez les plus jeunes. Un échantillon gratuit a été remis aux enfants.
Samedi en fin de matinée, la bourse a officiellement été inaugurée en présence de M.C Jarrot, Maire de Montceau-les-mines, accompagnée de plusieurs élus montcelliens et des communes voisines.
Pour rappel, l’association AMBM compte une quarantaine d’adhérents. Elle organise des sorties en carrière pour aller collecter différents minéraux.
J.L Pradines
Ça fait des semaines que la Claudine n’en peut plus d’entendre à longueur d’antenne, de lire au kilomètre des articles de la presse écrite, de scroller sur les réseaux sociaux la narration de faux débats, les échanges d’arguments tronqués sur un point essentiel de la vie du pays : la fermeture des boulangeries le 1er mai.
L’assignation est de mise, chacun est sommé de se prononcer pour ou contre, et donc l’essentialisation pointe le bout de ses préjugés : ceux qui ne vivent pas avec leur temps, les vieux ringuards d’une gauche confite dans ces préceptes archaïques et antiéconomiques, et ceux qui vivent avec leur temps parce que la vie a changé et que le libéralisme a apporté le progrès individuel et protège le droit d’entreprendre ; C’est un peu schématique, mais la Claudine, elle ressent ça comme ça.
D’abord héberluée par le tintamarre causé par cette obligation de fermeture le 1er mai, elle s’est aperçue qu’il ne s’agissait pas de ça, mais d’une interdiction de faire travailler les salariés et apprntis ce jour-là, qui est le seul jour férié et chômé obligatoirement pour tous les salariés (article L3133-4 du Code du travail), sauf dans les secteurs où une interruption de l’activité est impossible (par exemple, les hôpitaux ou les transports), conformément à l’article L3133-6. Ce qui ébahit la Claudine, c’est que cette interdiction date de la loi du 29 avril 1947 qui a instauré le 1er mai comme jour férié, chômé et payé. Pas de 2024 ou 2025, mais 1947.
Alors quoi ? Pourquoi tout ce charivari qui occupe 24 h/24 h les experts, les commentateurs, les professionnels, les clients des micro-trottoirs ? La Claudine est une femme méthodique, donc elle a décidé de repartir de 1947 et de voir dans les archives le cours de cette histoire.
Années 1950-1960 : les boulangers ont parfois protesté contre les restrictions de travail, mais ces actions étaient souvent locales et limitées. Les boulangeries étaient perçues comme un service de première nécessité, et il y avait des réticences à appliquer de manière stricte les lois sur les jours fériés dans certaines régions rurales. Les protestations étaient davantage
Années 1980-1990 : regain de protestations locales, notamment en raison de la montée des préoccupations économiques, mais aussi avec l’évolution des attentes des consommateurs pour des services disponibles tous les jours, y compris les jours fériés. Cependant, ces protestations étaient encore relativement rares et souvent liées à des questions plus larges de travail le dimanche ou de flexibilité des horaires d’ouverture.
Années 2000 : les discussions sur l’ouverture des commerces et la question du travail dominical ont pris une place plus importante dans le débat public, notamment avec les lois sur la modernisation du travail. Bien que la question du 1er mai ne soit pas devenue un sujet central, il y a eu quelques protestations concernant la possibilité pour les boulangers d’ouvrir lors de jours fériés. Les syndicats ont souvent réclamé plus de souplesse tout en défendant les acquis sociaux.
2025 : un tournant ? Ce qui distingue 2025 des précédentes années est la combinaison de plusieurs facteurs qui ont donné une ampleur particulière aux protestations de cette année-là :
– crise économique générée par la hausse des coûts énergétiques et les difficultés financières liées à l’inflation,
– Changements sociaux : la perception du travail le 1er mai et la place des travailleurs dans la société ont évolué. En 2025, le débat autour des conditions de travail et des droits des salariés a été particulièrement intense, et les boulangers ont été perçus par certains comme des symboles de petites entreprises en difficulté.
– Amendes infligées : les amendes imposées à certains boulangers pour avoir ouvert le 1ᵉʳ mai 2025 ont mis en lumière un aspect très concret du conflit, rendant la situation plus médiatisée.
Un cocktail nouveau, plus prégnant qu’habituellement dans un environnement politique anxiogène parce qu’incertain. Ce qui a fait monter la sauce, si la Claudine peut s’exprimer ainsi, c’est le détonnateur politico-médiatique.
Au titre des réactions médiatiques et législatives, on trouve les médias qui ont largement couvert les protestations, en mettant en avant les histoires individuelles de boulangers, ce qui n’était pas le cas auparavant à cette échelle. France 3, qui a été le principal relais des boulangers, mais aussi BFMTV, qui a diffusé des reportages sur les verbalisations de boulangers ayant employé des salariés le 1er mai, mettant en lumière les conséquences de l’application stricte de la loi ; CNews ouvrant largement la polémique concernant l’ouverture des boulangeries le 1er mai, avec des invités politiques exprimant leur point de vue sur la question ; LCI posant la question de la possibilité pour les commerçants de travailler le 1er mai ; France Info relayant les discussions autour de la proposition de loi visant à permettre aux boulangers et fleuristes d’ouvrir avec leurs salariés le 1er mai ; RMC diffusant des informations sur les verbalisations de boulangers à Paris le 1er mai, soulignant les tensions entre les autorités et les commerçants et animant des débats sur la question.
En parallèle, des propositions législatives ont émergé pour assouplir ces restrictions, alimentant encore le débat public. Mais là aussi, c’est la foire d’empoigne, chacun tirant la couverture de son côté et disqualifiant les adversaires. Mais encore une fois sans jamais vraiment informer. On réagit à l’événement, on ne l’explique pas et chacun est sommé de se prononcer sans connaissance de cause, uniquement sur la base du ressenti et des exigences individuelles.
Ce qui a choqué la Claudine, c’est que jamais elle n’a entendu parler de la loi du 29 avril 1947 ; il lui semblait que le problème venait de surgir et que la révolte était récente de ce fait. Que nenni. En fouillant sur le net, elle a trouvé une autorisation ministérielle de 1986 permettant aux boulangers de faire travailler leurs salariés le 1ᵉʳ mai, sous certaines conditions.
Elle se rend bien compte que si les protestations concernant l’ouverture des boulangeries le 1er mai ont existé depuis 1947, elles n’ont pas toujours eu la même visibilité ni la même ampleur qu’en 2025. Tout cela parce que les boulangers ont exprimé, au fil du temps, leurs préoccupations de manière sporadique, mais les événements de 2025 semblent représenter un tournant dans la manière dont cette question est abordée dans l’espace public. La présence des chaines d’infos en continu et des réseaux sociaux alliée aux enjeux politiques de la période a donné une acuité nouvelle et parfois factice aux événements, sans pour cela les éclairer réellement.
Actuellement, des propositions de loi sont en cours d’élaboration pour clarifier cette réglementation et potentiellement autoriser le travail des salariés dans les boulangeries le 1er mai. La ministre du Travail a déclaré qu’un boulanger, en tant qu’entrepreneur, est autorisé à travailler le 1er mai, mais pas ses salariés. Elle a exprimé son soutien à des initiatives parlementaires.
Mais pourquoi ? Alors qu’entre 1986 et 2024 cela ne semble pas avoir posé problème et qu’en 2024 cela en a posé ? La Claudine s’interroge.
La question de l’interdiction du travail des salariés et apprentis dans les boulangeries le 1er mai est un sujet sensible qui mêle droit du travail, tradition professionnelle et pression syndicale.
De 1986 à 2023, la situation a souvent été tolérée parce que les préfectures ou les inspections du travail fermaient les yeux, et que de ce fait les contrôles étaient rares. Il faut ajouter que beaucoup de boulangers n’avaient pas de salariés ou que ces derniers travaillaient avec leur accord, sans protestation ou plainte.
Ce qui a changé en 2024, c’est qu’en avril 2024, le ministère du Travail et donc les inspections régionales ont rappelé formellement la règle : il est interdit de faire travailler les salariés et apprentis le 1er mai, y compris dans les boulangeries. Mais pourquoi ? Plusieurs facteurs sont à prendre en compte pour expliquer ce durcissement : les pressions syndicales dans un environnement troublé aussi par d’autres combats sur le droit du travail et des retraites, une volonté politique d’appliquer la loi uniformément et de s’affirmer plus encore, des contentieux précédents dans d’autres secteurs économiques ou certaines régions. Et puis un bruit de fond sur l’idée que l’on ne travaille pas assez en France, qu’il y a trop de jours fériés chômés, qu’il faut trouver des ressources pour équilibrer le budget de l’État. Tout cela a induit une montée en puissance de débats sur le droit au repos et le respect du 1er mai comme symbole des droits sociaux ou comme obstacle au développement économique.
Du coup, et dans un contexte assez poreux politiquement, la décision a surpris beaucoup de boulangers qui avaient pris l’habitude de travailler ce jour-là, surtout dans les zones touristiques ou très fréquentées. Ils ont donc protesté contre une décision jugée brutale et déconnectée de leur réalité (pain frais indispensable dans certaines communes), y ont vu une injustice, car en face d’autres commerces (supermarchés, restaurants) peuvent ouvrir. Et puis le fait que l’interdiction arrive après des décennies de tolérance a créé un sentiment d’incompréhension. Et du coup incompréhension totale, pas seulement du côté des artisans boulangers, mais aussi du public à qui on n’a rien raconté, mais que l’on a mis face aux polémiques sans aucun recul. Il est bon de constater que les réseaux sociaux, la presse régionale et les chaines d’info continue, voire même les débats politiques, ont donné plus d’écho à cette question en 2024 qu’auparavant.
La loi n’a pas changé : depuis longtemps, le 1er mai est un jour obligatoirement chômé pour les salariés, y compris en boulangerie. Ce qui a changé en 2024, c’est la volonté de l’État d’appliquer la règle plus strictement, alors qu’elle avait été largement tolérée ou ignorée durant des décennies.
Où en sommes-nous à l’heure actuelle ? Il existe une forte mobilisation de la profession boulangère et la Confédération nationale de la boulangerie-pâtisserie française (CNBPF) et les syndicats régionaux ont interpellé le gouvernement pour obtenir une dérogation officielle ou un changement de la loi permettant aux salariés volontaires de travailler le 1er mai.
La ministre du Travail a reçu le 16 avril 2025 un courrier signé par plus de 50 parlementaires des Républicains appelant à « faire évoluer le Code du travail afin de reconnaître que la boulangerie est une activité essentielle et que son exercice ne peut être suspendu un jour férié« . Le même jour, elle s’est dite favorable à « faire bouger la loi » et a évoqué une proposition de loi en cours de préparation.
Une proposition de loi a été déposée au Sénat fin avril 2025 pour autoriser, sous conditions, le travail des salariés dans certaines professions, notamment les boulangeries et les fleuristes, le 1er mai. Les objectifs de la proposition de loi sont les suivants : clarifier le cadre juridique, encadrer strictement cette ouverture en la réservant aux établissements bénéficiant déjà d’une dérogation pour le travail dominical, garantir le volontariat des salariés, avec une rémunération majorée conformément au droit du travail applicable aux jours fériés. Cette proposition de loi doit désormais être examinée par les deux chambres du Parlement. Si elle est adoptée, elle pourrait entrer en vigueur pour le 1er mai 2026.
Les choses avancent, elles avancent, c’est une évidence, mais il n’en reste pas moins que, depuis des mois, la question du travail des boulangers le 1er mai a fait l’objet d’une récupération politique notable, à la fois au niveau national et dans les territoires, car elle touche à plusieurs thèmes sensibles : valeurs du travail, poids des traditions, ruralité et symbolique sociale du 1er mai. Mais surtout parce que dès le début les arguments présentés ont été biaisés. Il n’a jamais été interdit aux boulangeries d’ouvrir le 1er mai, mais il était depuis 1947 interdit de faire travailler les salariés et apprentis le 1er mai. En expliquant cela et en rappelant que les dérogations tolérées pendant 38 ans ont été supprimées, on aurait évité toute la mousse faite autour de ce sujet. Enfin, c’est ce que se dit la Claudine.
Gilles Desnoix
6 Montcelliens ont affronté le beau parcours tracé dans la commune des Bizots avec une belle bosse d’1km à 4,7% de moyenne.
En minime F: Victoire de Laurine DUCOTÉ. Avec ses talents de grimpeur, Laurine s’est fait plaisir sur ce genre de circuit.
En cat 6: 10ème place pour Jacky TILLIER. Même s’il n’est pas fan des grosses bosses, Jacky ne s’est pas découragé et termine dans le top 10.
En cat 4: 11ème place pour Mickaël PEGAZ. Avec son gabarit de grimpeur, Mickaël est parti en contre avec 4 autres concurrents. Après beaucoup d’efforts, il a dû se résigner à les laisser filer. Il termine dans le groupe suivant. 13ème place pour Jean-Michel DUCOTÉ. A l’inverse de sa fille, ce n’est pas un circuit taillé pour lui. Jean-Michel il a fait la course à son rythme.
En cat 3: 6ème place pour Geoffrey CASCIELLO. Il n’a pas manqué grand-chose pour que Geoffrey accroche un podium. Il démontre sur chaque course de très belles choses. Ça finira par payer !! 8ème place pour Thierry MULLER. Thierry est encore en manque de forme pour rester à l’avant. La saison est encore longue. Sans aucun doute, on le reverra aux avant-postes.
Merci au Creusot Vélo Sport, à Roland DOUARRE et à la famille DUCOTÉ pour les photos.
Félicitations à tous !!!
Une délégation de l’Alliance Dojo 71, emmenée par Maxime Rimbert et Anthony Piejak, était présente au Pôle Sportif des Montboucons à Besançon pour la venue de ce champion Japonais
Superbe intervention de notre intervenant de prestige
Travail sur sa technique favorite: uchi mata
Petite partie : sa manière de faire yoko tomoe nage
Randoris
A la fin Joshiro Maruyama s’est prêté aux jeux des photos et dédicaces.
Merci à la Ligue de Bourgogne-Franche-Comté de Judo pour l’organisation de cette journée
Une opportunité incroyable de rencontrer un tel champion
Communiqué :
« Le 25 avril 2025 a eu lieu l’assemblée générale de Montceau ma vie, adoptée à l’unanimité. Avec la présence de Mr Gérard Gronfier maire adjoint représentant la municipalité, Mesdames Jocelyne Buchalik, Marie Jo Aillot, Mrs Yves Kazmine, Michel Furno, Michel Tramoy.
Le président Jean Paul MOLLARD a fait le compte-rendu de 2024 et présenté les actions pour 2025. Le rapport financier présenté par la trésorière Catherine Chemarin s’est avéré correct.
Ce fut une soirée très agréable avec de nombreux participants. Un jeu était organisé par une grille loto et doté de nombreux lots. Soirée qui c’est terminé par l’apéritif offert par l’association et un très bon plateau repas.
Le président a remercié l’assemblée et souhaite augmenter les adhérents. »
J23- R1 Herbelin – FC Grandvillars / FC Chalon – 0-1
Aucune erreur est permise pour le FC Chalon et Kevin Garnier, le technicien des Chalonnais n’avait pas d’autre choix que de s’imposer à Grandvillars pour entrer dans les clous comptables de ce marathon et une course interminable à la montée en N3. Chalon prend le dessus dans le jeu, Chergui voit sa tentative sur coup franc. Un match tendu, Popp garde les espoirs en sortant 2 parades décisives, Mathis touche ensuite le poteau ! Pour forcer la décision, Djingo Sangaré va venir délivrer le banc chalonnais à dix minutes du terme. Chalon arrache une victoire très importante dans la lutte à la montée.
J19 – Régional 2 – Team Montceau Foot / US St-Sernin du Bois – 0-4
Il s’agissait surement au match le plus chaud et avec le plus d’enjeu en ce premier week-end de Mai, les Montcelliens du TMF en grand danger recevait son rival annuel, l’US St-Sernin du Bois, les dernières confrontations ont été très houleuses que ce soit en Coupe de France, en amical et même en championnat. Défait 2-0 au match aller, revanche et volonté de se sortir de la torpeur pour TMF, les Violets eux voulaient réagir après un revers cuisant 0-3 contre Marsannay. Fabrice Correia et ses hommes vont réussir un match plein face une formation Montcellienne en tension vis à vis de l’objectif maintien, malheureusement, TMF entérine ces chances en s’inclinant 0-4 sur sa pelouse, Jocelyn Matrat pour un doublé, Raphaël Repy et Karl Moscato sont les buteurs pour une défaite cuisante. TMF devrait bien évoluer en R3 la saison prochaine.
J19- Régional 2 – Jura Sud Foot B / USC Paray – 2-2
Défi très délicat pour les Parodiens de Adrien Jarrier en long déplacement chez le leader Jurassien. Après avoir mal négocié la rencontre face à la JO Creusot, Paray voulait limiter la casse et ils vont réussir à tenir tête au leader mais rentre aux vestiaires sur le score 1-0. Sauf que Paray résiste fort à la pression, les visiteurs vont réussir à obtenir un point important en accrochant le 2-2 sur des buts de Figueira et Monnet.
J19 – Régional 2 – JO Creusot / Bresse Jura Foot – 4-0
Après son précieux succès sur la pelouse de Paray(0-1), les hommes de Serpry retrouvent un espoir de maintien avec la réception de la lanterne rouge à Montporcher. Le Creusot prend le match par le bon bout, Ciufici trouve un bon centre dans la surface que Koné vient conclure et donne l’avantage à la JOC. Les hommes de Serpry peuvent faire le break mais la maladresse des Bleus entrent en jeu, Parison vient échouer 2 fois puis trouve le poteau. En seconde période, Kone trouve dans l’intervalle Brigeme qui dribble le gardien et finit seul. Véritable dynamiteur, Kone s’offre le doublé. Le Creusot va réussir à s’imposer 4-0 au finish.
J19 – Régional 2- Chalon ACF / FC Gueugnon B – 3-5
Duel pour le maintien à Chalon, les Espoirs de Gueugnon en déplacement après leur match nul spectaculaire au Vieux Fresne 3-3 face au TMF. Les jeunes de Soni Mustivar déjà maintenus en R2 se contentent d’arbitrer cette fin de saison face à des formations en quête de maintien. Les Gueugnonnais vont se faire cueillir en première période, Soni Mustivar, milieu du jour et habituel entraîneur, sera le buteur des Jaunes. Omar Bourhou s’offre un doublé pour faire mener l’ACF 2-1 puis 3-1 en début de seconde période mais Gueugnon B se rebiffe et renverse la rencontre et s’impose finalement 3-5 sur la pelouse des Châlonnais. Bonne opération pour Gueugnon B, ACF encore dans le viseur de la zone rouge.
Le RCMB s’est incliné à Beaurepaire lors du match retour du 32ème de finale du championnat de France de Fédérale 3.
Après avoir livré une partie mémorable, après s’être battu bec et ongles sur chaque ballon, après avoir repoussé un maximum d’attaques de Beaurepaire, les montcelliens se sont inclinés 26 à 12.
On y a cru jusqu’au bout mais Beaurepaire n’a pas fléchi et a fait preuve de puissance avec son pack très actif. Les montcelliens n’ont pas posé leur jeu à aucun moment il n’ont pu dérouler.
À la mi-temps, les montcelliens étaient mené 13 à 0. Tout était à refaire.
À la reprise, malgré un magistral coup de pied de Génieux à 60m et une autre pénalité réussie, deux pénalités de M. Degueurce, le score du RCMB affichait 12 points. Mais les Beaurepairois marquait un essai (53ème) et une pénalité et affichaient 21 points.
On abordait les 10 dernières minutes sur le score de 21 à 12. Tout était possible.
Beaurepaire poussait toujours et vers la 74ème marquait un essai : 26 à 12.
Ce n’est plus la même.
Les montcellliens ont réagi, ils ont essayé de tous les côtés mais sans finaliser et au coup de sifflet final, le score donnait Beaurepaire avec 14 point d’avance, soit un point de mieux que le RCMB au match aller.
« Une très belle équipe de Beaurepaire », reconnaît le président Jacky Rozier. « On a joué avec le frein à main de notre part en 1ère mi-temps. Nous avons fait une très belle 2ème mi-temps avec les 5 dernières minutes dans leur camp sans réussir à franchir le rideau ».
L’aventure du RCMB s’arrête donc là pour cette saison qui aura été riche et bien remplie.
J.L Pradines
Ce samedi après-midi, Tatiana Richard-Perrot, adjointe en charge du développement durable, de la démocratie participative, de l’innovation sociétale et de la communication, a accueilli à l’Espace France Services, Milan Trimouille, né le 5 mai 2021 à Le Creusot, afin de célébrer son baptême républicain.
Les parents, Jonathan Trimouille et Cindy Bernadat, ont présenté leur enfant pour le placer sous l’égide et la protection de l’autorité civile et républicaine.
L’adjointe a rappelé le sens fort de cette cérémonie symbolique en évoquant les valeurs de la devise républicaine « Liberté, Egalité, Fraternité » en y ajoutant la Solidarité et le respect des différences.
Puis l’élu a demandé au parrain Justin Bernadat et à la marraine Eliane Lhote, de s’engager solennellement, d’accepter leurs nouvelles responsabilités avant d’inviter les intéressés à signer le certificat de parrainage civil.
J.L Pradines