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LFP Media a un nouveau patron, Nicolas De Tavernost officiellement nommé
Nicolas de Tavernost, ex-patron de M6, a été officiellement nommé directeur général de LFP Média, la branche commerciale de la Ligue de football professionnel. À 74 ans, succédant à Benjamin Morel, cet ancien propriétaire des Girondins de Bordeaux (1999-2018) prend les rênes dans un contexte de crise aiguë des droits télévisés. Sa nomination représente une opportunité de redynamiser un football français fragilisé, mais aussi un défi colossal face à des enjeux financiers et judiciaires.
Une crise des droits TV à résoudre
LFP Média gère notamment la commercialisation des droits TV, qui représentent 60 % des revenus des clubs. Le récent échec de la médiation avec DAZN, diffuseur principal, plonge la Ligue 1 dans l’incertitude. DAZN, avec seulement entre 550 et 700 000 abonnés contre 1,5 million attendus, accuse la LFP de « tromperie sur la marchandise » et réclame 573 M€ en justice. L’incertitude concernant la poursuite de l’accord de diffusion au-delà de la saison en cours compléxifie encore la tâche de Nicolas de Tavernost et des clubs.
Une expertise pour renouer avec Canal+
Nicolas de Tavernost, fort de 37 ans chez M6 et d’une connaissance intime des médias et du football, est perçu comme un « pompier » stratégique. Sa relation avec Maxime Saada, président de Canal+, est un atout clé. Maxime Saada, qui dénonçait une « iniquité » lors de l’appel d’offres 2021 et le départ de Médiapro, se dit prêt à dialoguer : « C’est un bon moyen de me faire revenir sur la Ligue 1.” Un retour de Canal+, diffuseur historique, pourrait stabiliser le marché, bien que Maxime Saada reste prudent, évoquant le « préjudice » post-Mediapro et le budget d’investissement limité de son groupe. Nicolas de Tavernost explore aussi d’autres pistes, écartant pour l’instant le projet unique de chaîne LFP.
Une mission de valorisation
Vincent Labrune, président de la LFP, salue la « double expertise » de Nicolas de Tavernost pour « valoriser pleinement le football professionnel français”. Sa mission inclut la lutte contre le piratage et l’attraction de nouvelles plateformes comme Amazon ou Apple. CVC, qui ponctionne 13 % des droits, surveillera ses résultats. Nicolas de Tavernost devra aussi collaborer avec les clubs, certains critiques envers Vincent Labrune, pour redonner de la compétitivité à une Ligue 1 décrochée par ses homologues européennes.
Perspectives économiques
Nicolas de Tavernost hérite d’un chantier à haut risque. Un échec prolongerait la crise, menaçant la survie de clubs dépendants des droits TV. Une chaîne LFP, bien que coûteuse, pourrait diversifier les revenus. À court terme, un accord avec Canal+ à 200-250M€ par an semble la solution la plus viable. Nicolas de Tavernost, avec son « entregent » et son réseau, pourrait transformer cette crise en opportunité, redonnant à la Ligue 1 un avenir télévisuel stable et une visibilité accrue.
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Le salon Objectif Green revient pour une seconde édition les 13 et 14 Mai 2025
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Il était une flamme, de Vincent du Bary
Le relais de la flamme fut un immense succès.
Partout, il a donné à voir des Français unis, impliqués, solidaires.
Magie de l'évènement ! S'il est si populaire, c'est parce qu'il nous parle... Et de quoi nous parle-t-il ? De nous !
Voilà qui oeuvre à fédérer un pays qu'on dit fracturé de toutes parts. Les femmes et les hommes politiques en ont rêvé, la flamme l'a fait...
À lire sur amazon
Sylvaine Cussot est l’invitée du Trail Business Club. Elle y revient notamment sur son modèle économique entre son emploi chez I-run et son statut d’athlète au sein du team Asics Trail, ses différents partenaires et le rôle de l’agence d’influence qu’elle a rejoint en 2023.
À écouter sur ausha, apple podcast, deezer, spotify
Les puissances sportives traditionnelles n’ont pas dit leur dernier mot - sponsoring.fr
Running : dans la guerre des sponsors, New Balance se démarque à Boston - les échos
6%.
C’est le taux de croissance des affluences de Top 14 par rapport à la saison précédente. Les clubs rassemblent en moyenne 14 649 spectateurs par match.
À lire sur rugbyrama
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Après le brûlant derby de Rouen, Quevilly accable son CM et s'excuse - rmc sport
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"Il y a un travail de l'ombre monumental" : l'irrésistible ascension du Limoges Handball
Mardi soir, le Palais des Sports de Beaublanc a vibré pour un quart de finale aller de Ligue européenne opposant le Limoges Handball au mythique THW Kiel. Ce match, dont les 4 600 billets se sont écoulés en moins de dix heures, symbolise l’ascension fulgurante d’un club créé en 2005, passé de la Nationale 3 à la Starligue en 15 ans. Le LH incarne un modèle de structuration et de diversification, où l’événementiel et une holding innovante, Limoges Sport Investissement, jouent un rôle clé.
Une réussite sportive et populaire
Monté en D1 en 2020, le LH affiche la troisième affluence (3 850 spectateurs en moyenne) et le quatrième budget de Starligue (6,1 M€, prévu à 7 M€ en 2025-2026). Dépassant le CSP basket, institution locale, le club a su fédérer 358 sponsors, générant plus de 50 % de ses revenus via 1 500 VIP par match. Sa première campagne européenne, marquée par une qualification héroïque contre Kriens-Lucerne (36-28), illustre cette dynamique. "Il y a un travail de l’ombre monumental", confie l’ailier Andréa Guillaume, saluant une structuration entamée dès la D2.
L’événementiel comme levier économique
Le LH s’est distingué par une stratégie événementielle audacieuse. Dès la Proligue, il attirait 4 200 fans au Zénith avec des concerts de Tal ou Black M en marge de leurs matchs, investissements visant à élargir l’audience. Récemment, le club a organisé un festival électro, la Coupe du monde de rugby fauteuil, et un match de futsal avec Zinédine Zidane. Son agence de voyage (NBA, Tournoi des 6 Nations) renforce son attractivité auprès des partenaires.
Limoges Sport Investissement : une vision structurée
La création de LSI, dotée de 1,8 M€ et réunissant 12 associés, marque une étape décisive. Cette holding chapeaute la société sportive et des activités annexes : immobilier (acquisition de trois maisons pour le staff et les joueurs), traiteur, et sport-santé. En cogérant la brasserie de Beaublanc avec le CSP, le LH anticipe la rénovation du complexe (prévu pour 2029, coût de 50 M€), qui offrira 5 500 places et deux salles d’entraînement annexes. Ce projet, porté par Chaix & Morel, vise à mutualiser les coûts et à maximiser les revenus des espaces d’hospitalités (aujourd’hui pleins pour le handball) et des événements.
Défis et perspectives
Malgré un septième rang en Starligue, le LH reste confiant. "Une non-qualification en Europe ne nous fragiliserait pas", assure Christophe Racaud, président de LSI. À l’horizon 2030, le club ambitionne le top 3, rivalisant avec Nantes ou Montpellier. Ce modèle, alliant sport et économie événementielle, pourrait inspirer d’autres clubs français. Le LH, porté par son "travail de l’ombre", redéfinit les standards du handball français.
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Kévin Yven, fondateur de Sport’n Data & Head of Data Science at Red Bull Team BORA, est l’invité d’Effort Maximum
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Une révolution dans le cyclisme? "One Cycling", le projet de ligue fermée porté par l'Arabie saoudite, pourrait voir le jour cet été - rmc sport
Le groupe français de BTP Eiffage va construire le circuit de F1 de Madrid pour le futur Grand Prix d'Espagne - l’équipe
Le Stade Toulousain dévoile son quatrième maillot de la saison, conçu en collaboration avec l'Agence Spatiale Européenne - stade toulousain
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Natacha Lagarde, promue coordinatrice des opérations au PSG - sportune
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"Mon équipe est en danger de mort" : le combat du patron de la structure cycliste française Arkéa - B&B
Le cyclisme français traverse une crise existentielle, et l’équipe Arkéa-B&B Hôtels en est l’emblème. Emmanuel Hubert, son manager depuis sa création en 2005, a lancé un cri d’alarme : "Mon équipe est en danger de mort". À l’aube de l’Amstel Gold Race, il lutte pour sécuriser 25 M€ d’ici mi-juin 2025, faute de quoi la formation bretonne risque de disparaître. Pour les professionnels de l’économie du sport, ce cas illustre les fragilités structurelles du modèle cycliste français face à une concurrence mondiale toujours plus coûteuse.
Une situation financière critique
Les contrats des sponsors titres, Crédit Mutuel Arkéa et B&B Hôtels, expirent fin 2025, sans garantie de renouvellement. Avec un budget 2024 de 17 M€, Hubert vise 20 à 25 M€ pour 2026, un seuil minimal pour rivaliser en WorldTour ou rebâtir en ProTeam. La conjoncture économique, marquée par l’inflation et la frilosité des investisseurs, complique la quête. Une opportunité avec une "grosse boîte française" a récemment échoué, accentuant l’urgence. Sans "closing" d’ici mi-juin, Emmanuel Hubert craint un scénario à la Jean-René Bernaudeau, sauvé in extremis en 2010.
Un modèle économique sous pression
Le cyclisme français, dépendant à 80 % des sponsors privés, souffre de charges sociales élevées, contrairement aux équipes étrangères employant des indépendants. Arkéa, 19e au classement WorldTour, risque la relégation en 2026, compromettant son accès aux Grands Tours. Avec 150 salariés, dont 27 coureurs comme Kévin Vauquelin, la disparition menacerait des foyers entiers.
Emmanuel Hubert propose un modèle collaboratif où les partenaires apportent expertise (marketing, digital) et non seulement des fonds, tout en plaidant pour des royalties sur les transferts de jeunes talents formés. “Si on forme un excellent jeune, il pourrait, même s’il change d’équipe, rapporter des royalties chaque année à sa première équipe formatrice. Cela éviterait de ne dépendre que d’un sponsor et valoriserait la détection des talents” imagine-t-il. Le cyclisme, sport gratuit par nature, peine à monétiser ses spectateurs. Emmanuel Hubert rejette la billetterie sur circuits fermés.
Perspectives et défis
Malgré un début de saison moyen, Emmanuel Hubert reste optimiste, porté par des talents comme Kevin Vauquelin. Des discussions avec Arkéa et B&B Hôtels, prévues fin avril, pourraient clarifier leur engagement. À long terme, une défiscalisation, proposée par Emmanuel Hubert il y a quelques mois, pourrait alléger les 30 % de charges sociales des équipes françaises et les aligner avec les équipes étrangères. Arkéa - B&B incarne un défi systémique : sans innovation (fan-zones, digital, formation), 60 % des équipes françaises pourraient disparaître d’ici 2030.
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Timothée et Mathilde sont salariés de la Recyclerie Sportive, un projet unique en France qui remet en circulation des équipements sportifs, réduit les déchets et crée de l’emploi local. Ils sont les invités de Durabilis TV.
À voir sur youtube
Corentin Segalen, Président du groupe international de Copenhague ,responsable de la lutte contre la manipulation des compétitions sportives à l’ANJ et Pim Verschuuren, enseignant chercheur à Rennes 2 membre du laboratoire de Recherche VIPS² spécialiste de diplomatie sportive, de la gouvernance et de l'intégrité dans le sport, sont les invités de Sur la Ligne pour évoquer les paris sportifs.
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Max Cobb (IBU) : "Le biathlon est le sport d’hiver numéro 1, on doit commencer à agir de la sorte !" - francs jeux
Lululemon, Nike, Adidas : les usines chinoises prennent les marques américaines en otage - les échos 💰
Domination de la WNBA et menace des ligues privées : le grand bazar du calendrier européen - l’équipe
"Elevate 2042" – Stratégie d’héritage des Jeux Olympiques et Paralympiques de Brisbane 2032 - décideurs du sport
NFL Draft : les secrets d’une stratégie marketing parfaite - touchdown actu
10 237.
C’est le nouveau record d'affluence de Seconde Ligue féminine. Une semaine après le FC Metz, c’est le Racing Club de Lens qui a signé ce record (face à Metz) ce week-end au Stade Bollaert.
À lire sur l’équipe
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Roland-Garros renouvelle trois sponsors - sportbusiness.club 💰
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Le Café du Sport Business organise son deuxième afterwork parisien le mardi 13 mai 2025.
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Roland-Garros aura sa fanzone à la Concorde
À quelques semaines de l’édition 2025 des Internationaux de France, la Fédération Française de Tennis poursuit sa dynamique d’ouverture et d’innovation. L’annonce phare de cette édition ? L’installation d’une fan-zone gratuite sur la place de la Concorde, en plein cœur de Paris, du 4 au 9 juin. Un tournant stratégique pour le tournoi, qui vise à renforcer son rayonnement populaire et à s’ancrer davantage dans l’espace urbain et culturel parisien.
Tribune Concorde : capter le grand public au-delà du stade
Pensée comme une extension festive et immersive du tournoi, la "Tribune Concorde" ambitionne de faire vivre l’expérience Roland-Garros à 5 000 spectateurs simultanément, dans un cadre iconique. Écrans géants, transats Hespéride, food trucks, DJ sets, boutique officielle et passage des champions : tout est réuni pour offrir une expérience conviviale, gratuite et accessible. Inspirée par l'héritage des Jeux Olympiques 2024, qui avaient transformé ce même lieu en arène urbaine, cette fan-zone incarne une volonté claire de décloisonner l’événement.
Avec cette opération, la FFT cherche à toucher un public élargi, au-delà des seuls amateurs de tennis : touristes, familles, néophytes et curieux. Un choix audacieux, en phase avec les stratégies d’expansion événementielle observées dans l’industrie du sport : faire du sport un catalyseur de lien social, d’émotion collective et d’attractivité territoriale. “On veut en faire un lieu festif pour qu’au centre de Paris dans un cadre magnifique, les gens puissent regarder des matchs de tennis sur les deux écrans géants” a expliqué Amélie Mauresmo, la directrice du tournoi.
Un modèle économique à potentiel
Bien que gratuite, la fan-zone s’inscrit aussi dans une logique de retour sur investissement indirect : valorisation de la marque Roland-Garros, monétisation dérivée via la boutique et la restauration, collecte de data potentielle, sans compter l’impact en termes d’image. L’activation partenariale sur ce type de dispositif offre également de nouvelles opportunités BtoB : marques lifestyle, sponsors ou collectivités peuvent s’associer à une expérience qualitative et grand public, dans un lieu prestigieux.
Test grandeur nature avant montée en puissance ?
Comme l’a rappelé Amélie Mauresmo, cette première édition sera avant tout un test. Si le public répond présent, le modèle pourrait être pérennisé, voire amplifié dans les années à venir. À l’instar de Wimbledon avec son "Hill", Roland-Garros pourrait se doter à l’extérieur de ses murs d’un "cinquième court" symbolique, témoin de sa modernisation et de son ouverture.
Avec Tribune Concorde, Roland-Garros ne se contente plus d’accueillir : il va à la rencontre de son public. Un pari audacieux mais résolument dans l’air du temps.
À lire sur rmc sport, le figaro, le parisien, fft
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Le salon Objectif Green revient pour une seconde édition les 13 et 14 Mai 2025
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Bastien Lachambre, cofondateur d’Exo, est l’invité de Lauriane Fayard et son podcast Inspiration Bien-Être, pour évoquer la gamification des salles de sport.
À écouter sur spotify
Le monde du sport est-il prêt à affronter la révolution IA ? - ecofoot 💰
Le LAFC met en œuvre la technologie d'authentification faciale de Wicket - the ticketing business (en)
Milan-Cortina 2026 : Un budget projeté à environ 1,7 milliard d’euros - sport & société
Rugby Australia affiche un déficit de 36,8 millions de dollars dans l'attente d'une manne financière - the guardian (en)
Sport féminin et infrastructures : quelles tendances pour les nouveaux équipements professionnels ? - ecosport women
Roland Garros is calling… La pub Renault 5 pour Roland Garros - stéphane barbat
70 000.
C’est le nombre de licenciés à la Fédération Française de Triathlon, qui dépasse, pour la première fois, cette barre symbolique.
À lire sur sportbusiness.club 💰, fftri
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La “Tony Parker Academy” de Saint-Ouen se dégonfle - les échos
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FDJ UNITED renouvelle son engagement pour le sport français avec la FDJ UNITED FACTORY !
La FDJ UNITED Factory, c'est 34 athlètes et une ambition : porter haut les couleurs du groupe en France et à l'international.
Chez FDJ UNITED, nous faisons plus que soutenir le sport : nous créons des liens, nous inspirons et nous accompagnons nos athlètes dans leur développement personnel, leurs projets de formation et leur reconversion. Parce que le sport est plus qu'un jeu, c'est une force qui unit et qui fait avancer.
Pour en savoir plus : Sport Factory - FDJ UNITED
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Amélie Oudéa-Castéra candidate à la présidence du comité olympique français
L’annonce a surpris, mais elle pourrait bien rebattre les cartes dans un paysage sportif français en quête de cohésion. Ce mercredi, Amélie Oudéa-Castéra, ancienne ministre des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques, a officialisé sa candidature à la présidence du Comité national olympique et sportif français, dont l’élection se tiendra le 19 juin. Dans une lettre adressée aux 108 présidents de fédérations, elle se positionne comme la candidate du rassemblement, promettant "un projet fort et fédérateur" pour pérenniser l’héritage des JO de Paris 2024.
À 47 ans, Amélie Oudéa-Castéra connaît parfaitement les arcanes du mouvement sportif et les codes de l’appareil d’État. Ancienne dirigeante de la FFT et du groupe Carrefour, elle possède une double culture publique-privée précieuse dans une maison fragilisée par les divisions internes et le manque de vision stratégique. Sa déclaration de candidature évoque "un projet fort et fédérateur" et insiste sur la nécessité de ne pas laisser retomber l’héritage des Jeux de Paris 2024 — un enjeu majeur pour le sport français dans les prochaines années.
Le contexte n’est pas neutre. Après la démission de Brigitte Henriques, la gouvernance du CNOSF peine à retrouver son équilibre. Ni Didier Seminet, soutenu par certaines fédérations olympiques, ni Cédric Gosse, plus proche des fédérations affinitaires, n’ont su faire consensus. La candidature d’Amélie Oudéa-Castéra semble donc incarner une troisième voie, capable de réconcilier les blocs. Le retrait probable de Cédric Gosse, qui pourrait devenir secrétaire général aux côtés d’elle, renforce cette hypothèse.
Mais le chantier reste immense. Le CNOSF doit restaurer sa légitimité, notamment vis-à-vis des grandes fédérations (judo, natation, tennis…) marginalisées en 2021, et redéfinir son rôle dans un écosystème où l’Agence nationale du sport et le ministère pèsent lourd. La capacité d’Amélie Oudéa-Castéra à bâtir une gouvernance plus inclusive, à redonner du poids aux clubs et au tissu bénévole, tout en consolidant les acquis de Paris 2024, sera décisive.
Sa candidature sonne comme un retour aux sources, mais elle reflète aussi une volonté politique de structurer durablement le modèle économique du sport français. Un modèle à repenser, entre professionnalisation croissante, nécessité d’innovation (digitalisation, transition écologique), et maintien de la cohésion sociale par le sport.
Avec cette élection, c’est bien plus qu’un poste qui est en jeu : c’est l’avenir d’un mouvement sportif français en quête de cap.
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Nicolas Maurier, co-fondateur de Team Vitality, était l'invité de Sandra Gandoin dans French Tech. Il est revenu sur la création du comité directeur de l'Union française des clubs d'esport professionnels (UFCEP), dans Good Morning Business
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Un sponsor atypique s’affiche sur le maillot du Red Star - foot pack, sport buzz business
100 000.
C’est le nombre d’utilisateurs enregistrés par HandballTV, la plateforme OTT du handball français. Celle-ci a connu une croissance de plus de 40% ces 12 derniers mois, avec le recrutement de 30 000 utilisateurs.
L’application HandballTV, elle, a été téléchargée 60 000 fois.
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Black Seat, le nouvel acteur qui veut booster les revenus hospitalités des organisations sportives - ecofoot (sans tricher)
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FDJ UNITED renouvelle son engagement pour le sport français avec la FDJ UNITED FACTORY !
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DAZN refuse la proposition financière de rupture, le conflit avec la LFP continue
La médiation entre la Ligue de football professionnel et DAZN s’est soldée par un échec retentissant. Réunis en collège et conseil d’administration, les présidents de clubs avaient voté pour une rupture anticipée du contrat dès juin 2025, mais DAZN a rejeté la proposition financière du médiateur Frank Gentin : 140 M€ pour les échéances d’avril et juin, plus une indemnité de 110 à 125 M€ pour 2025-2026. Ce refus laisse le football français dans un brouillard de plus en plus dense
Une rupture avortée, un contentieux persistant
DAZN, qui retransmet 8 matchs sur 9 par journée pour 375 M€ annuels, accuse la LFP de "tromperie sur la marchandise" et réclame 573 M€ devant le tribunal. Avec 550 000 abonnés contre 1,5 million nécessaires, la plateforme enregistre des pertes de 200 à 250 M€ cette saison. La clause de sortie, activable en décembre 2025 si ce seuil n’est pas atteint, limite l’indemnisation potentielle à 400 M€ (solde de la saison en cours, droits pour la saison 2025-2026), affaiblissant la LFP. Le refus de DAZN, d’une offre qualifiée de “raisonnable” par la Ligue, maintient le contrat en vigueur, avec un prochain test le 30 avril pour le paiement de la prochaine échéance du contrat. En cas de défaut, la LFP pourrait saisir la garantie de l’actionnaire ou puiser dans ses 100 M€ de réserves.
Mardi soir, la LFP a communiqué en expliqué qu’elle attendait “que DAZN exécute pleinement l’ensemble de ses obligations."
Une chaîne LFP comme plan B
Face à l’impasse, la LFP mise sur une chaîne interne, un projet porté par Vincent Labrune et bientôt piloté par Nicolas de Tavernost, nouveau DG de LFP Media. L’investissement initial est estimé à 300M€. Vicent Labrune, devant les présidents, a plaidé pour "avancer par nous-mêmes", tout en restant ouvert à d’autres diffuseurs d’ici août 2025. Canal+, écarté, pourrait revenir, mais à un tarif réduit, autour de 200 M€ par an. Amazon ou Apple, évoqués comme outsiders par le passé, restent distants.
Enjeux économiques critiques
Une rupture sans accord menacerait la survie de clubs déjà fragilisés, avec un déficit cumulé de 1,2 Md€ en 2024-2025. Une chaîne LFP pourrait diversifier les revenus via abonnements et partenariats, mais sa viabilité dépendra de l’adhésion de téléspectateurs, échaudés par les multiples changements de diffuseurs, les tarifs de lancement élevés de DAZN et attirés par les diffusions pirates.
Perspectives incertaines
L’échec de la médiation, dénoncé comme un "choix stratégique" de DAZN par la LFP, ouvre une période judiciaire risquée. CVC surveillera Nicolas de Tavernost pour protéger ses 13 % de droits. Ce dossier impose une refonte du modèle audiovisuel français, alliant innovation et rigueur financière, sous peine de voir la Ligue 1 décrocher définitivement.
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La WNBA égalise le record des 10 premiers choix internationaux de la draft : Des questions qui restent en suspens - front office sports (en)
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L’ancien directeur général du PSG Jean-Claude Blanc change de fonctions à Manchester United - le parisien
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FDJ UNITED renouvelle son engagement pour le sport français avec la FDJ UNITED FACTORY !
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Hausse d'affluence et des budgets, quasi parité salariale : pourquoi la D1 femmes réduit l'écart avec celle des hommes
Ce mardi marque un tournant pour la Ligue 1. La médiation entre la Ligue de football professionnel et DAZN, principal diffuseur du championnat, s’achève après deux prolongations. Le médiateur Frank Gentin, nommé en janvier, a fixé cette date butoir pour trancher entre une rupture anticipée du contrat ou sa poursuite sous de nouvelles conditions. Avec des pertes estimées entre 200 et 250 M€ pour DAZN cette saison, et une action en justice réclamant 573 M€ pour « tromperie sur la marchandise », l’issue de ce conflit redessinera l’économie du football français.
Un conflit aux racines profondes
L’accord signé en 2024, censé sécuriser 1,5 Md€ sur cinq ans, est fragilisé par des tensions structurelles. DAZN, avec seulement 550 000 abonnés contre 1,5 million nécessaires à l’équilibre, reproche à la LFP une lutte insuffisante contre le piratage et un manque de coopération des clubs pour valoriser le produit Ligue 1. La clause de sortie, activable en décembre 2025 si ce seuil d’abonnés n’est pas atteint, limite l’indemnisation potentielle à 400 M€, affaiblissant la position de la LFP. Ce contexte, ajouté à l’échec Mediapro en 2020, met les clubs sous pression financière, avec un déficit prévisionnel de 1,2 Md€ pour 2024-2025.
Les scénarios sur la table
Quatre options émergent. La LFP propose soit une rupture dès juin 2025 avec un dédommagement partiel (inférieur à 375 M€), soit une continuation jusqu’en 2027 avec une légère baisse des droits. DAZN, de son côté, envisage un retrait immédiat après paiement des 140 M€ restants (échéances d’avril et juin), ou une exclusivité totale, incluant le match de beIN Sports, avec une part variable dans le contrat. Ces positions divergentes, inchangées au 14 avril, laissent craindre un échec de la médiation.
Enjeux pour l’économie du football
Une sortie de DAZN sans accord plongerait les clubs dans une crise immédiate, obligeant la LFP à puiser dans ses réserves ou à chercher un nouveau diffuseur. Canal+, qui a snobé l’appel d’offres et les négociations de 2023-2024, pourrait revenir à un prix bradé. Cela pourrait néanmoins améliorer la visibilité du championnat. L’hypothèse d’une chaîne LFP, soutenue par Nicolas de Tavernost, nouveau DG de LFP Media, nécessiterait 300 M€ d’investissement initial, un pari risqué. À long terme, une meilleure lutte contre le piratage et une transformation du produit Ligue 1 sont essentiels pour retrouver des niveaux de revenus plus ambitieux.
Perspectives incertaines
Réunis ce mardi pour un collège Ligue 1/Ligue 2 et un conseil d’administration, les présidents de clubs attendent une issue sous haute confidentialité. Si la médiation échoue, un recours judiciaire prolongerait l’incertitude, menaçant la compétitivité des clubs face aux championnats étrangers, mais, surtout, la survie même de certains clubs. Ce jour J, scruté par CVC, pourrait redéfinir la stratégie audiovisuelle du football français pour une décennie.
À lire sur l’équipe 💰, rmc sport
Acteur historique du sport en France, FDJ UNITED reconduit son dispositif de soutien aux athlètes tricolores, la FDJ UNITED Factory, et dévoile les trente-quatre sportifs qui composent ce collectif pour les deux prochaines années.
Depuis 1991, La Française des Jeux soutient les athlètes français dans leur quête vers la plus haute performance et la réussite olympique et paralympique, à travers un soutien humain et financier. En 2019, le programme "Challenge" s'est transformé pour devenir la FDJ UNITED Factory, avec Paris 2024 en ligne de mire. Le bilan remarquable du collectif aux Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 – vingt-cinq médailles, dont sept d'or, quatre d'argent et quatorze de bronze – a permis de clôturer avec succès ce dernier quinquennat.
Fort de ces succès qui ont permis de récompenser la détermination du collectif et la qualité de la détection des athlètes par l'entreprise, FDJ UNITED est fier de poursuivre son engagement auprès du sport français et dévoile la nouvelle composition de la FDJ UNITED Factory pour les saisons 2025 et 2026.
A l'issue d'un jury de sélection, présidé par Stéphane Pallez, Présidente directrice générale du Groupe, et en présence notamment de Yann Cucherat, Manager général de la haute performance à l'Agence nationale du Sport, trente-quatre athlètes ont été sélectionnés et composent le nouveau collectif FDJ UNITED Factory. Dans le détail, il s'agit de dix-huit femmes et seize hommes, dont treize athlètes de parasports, et huit athlètes de sports d'hiver. Le collectif comportera également une pépinière avec huit profils d'athlètes plus jeunes dans leur discipline.
Découvrez les 34 athlètes de la FDJ UNITED Factory ici : Sport Factory - FDJ UNITED
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Isabelle Humbersot est la fondatrice d’AlgaSports, une boisson santé naturelle spécialement formulée, répondant aux besoins spécifiques des sportives. Elle est l’invitée d’Eric Alard pour l’Entrepreneuriat, c’est du Sport.
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SD Management est une des plus grosses agences du milieu, représentant des joueurs comme Romain Ntamack, Peato Mauvaka, Thibault Flament et bien d’autres. Son fondateur, Stéphane Dray, est l’invité du podcast Depuis le Début
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FDJ UNITED renouvelle son engagement pour le sport français avec la FDJ UNITED FACTORY !
La FDJ UNITED Factory, c'est 34 athlètes et une ambition : porter haut les couleurs du groupe en France et à l'international.
Chez FDJ UNITED, nous faisons plus que soutenir le sport : nous créons des liens, nous inspirons et nous accompagnons nos athlètes dans leur développement personnel, leurs projets de formation et leur reconversion. Parce que le sport est plus qu'un jeu, c'est une force qui unit et qui fait avancer.
Pour en savoir plus : Sport Factory - FDJ UNITED
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Hausse d'affluence et des budgets, quasi parité salariale : pourquoi la D1 femmes réduit l'écart avec celle des hommes
Le championnat de France féminin de volley-ball, le Saforelle Power 6 (le namer Saforelle n’est pas mentionné dans l’article de L’Équipe…), connaît une ascension remarquable, rattrapant économiquement et médiatiquement son pendant masculin. Au moment des des quarts de finale 2025, l’analyse des dynamiques sportives et financières révèle un secteur en pleine mutation.
Une affluence en forte hausse
Avec une augmentation de 50 % des spectateurs en trois saisons, la Ligue A Féminine affiche une moyenne de 1 080 personnes par match en 2024-2025, contre 1 369 pour les hommes, dont la progression stagne à 5 %. Le bond de 32 % entre 2022-2023 et 2023-2024 reflète un engouement dopé par les JO 2024. La médaille d’or des Bleus a boosté les licenciés, attirant un public familial, notamment féminin (40 % à Chamalières). "Les gens découvrent et restent", note Mylène Toubani-Bardet, vice-présidente de la LNV, soulignant un "effet coup de cœur" renforcé par la couverture télévisée sur Sport en France.
Des budgets en progression, mais des écarts
Les budgets féminins, bien qu’inférieurs de 21 % en moyenne à ceux des hommes, atteignent des sommets, comme Mulhouse avec 2,7 M€ contre 2,2 M€ pour Tours en Ligue A Masculine. Cette convergence s’accompagne d’une quasi-parité salariale, alors que l’écart était de 30-40 % il y a cinq ans, selon Philippe Peters, président de Levallois-Paris. Cette dynamique reflète une professionnalisation accélérée, portée par des sponsors et des hospitalités en hausse.
Un spectacle attractif
Le volley féminin se distingue par des matchs intenses et des rallyes prolongés, offrant plus de "dramaturgie" que les rencontres masculines, parfois dominées par des services directs, selon Philippe Peters. La LNV, unique ligue mixte en France, promeut hommes et femmes équitablement, avec des animations festives et des exigences identiques. Les clubs comme Béziers ou Levallois, passés dans des salles de plus de 2 000 places, amplifient cette ambiance, attirant des supporters dynamiques qui "donnent de l’énergie" aux joueuses.
Une dynamique internationale
À l’image des États-Unis, la France bénéficie d’une impulsion mondiale. L’émergence de ligues professionnelles aux USA (Pro Volleyball Federation, League One Volleyball) montre un potentiel "bankable". En France, le record d’affluence de 5 698 spectateurs à Vandoeuvre-Nancy le 29 décembre 2024.
Défis et opportunités
Malgré ces avancées, la LNV doit investir dans la formation pour fidéliser ce public et rivaliser avec l’Italie ou la Turquie. Les efforts marketing, encore balbutiants, nécessitent un renforcement, comme à Levallois où les ventes de billets exigent désormais une stratégie proactive. Ce boom offre des opportunités : partenariats locaux, diffusion numérique sur des plateformes comme YouTube et sponsoring accru. Mais il faudra équilibrer croissance et durabilité pour éviter les écueils financiers du rugby ou du football français. La Ligue A Féminine, portée par sa dynamique, pourrait devenir un modèle de réussite pour le sport féminin professionnel.
À lire sur l’équipe 💰
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Malgré un record historique de recettes, le déficit des clubs professionnels de rugby ne diminue pas
La saison 2023-2024 marque un paradoxe pour le rugby professionnel français. Selon le rapport de la Ligue nationale de rugby et de la Commission de contrôle des championnats professionnels, les 30 clubs de Top 14 et Pro D2 ont généré 598 M€ de recettes d’exploitation, un record historique en hausse de 10 %. Pourtant, le déficit cumulé reste stable à -76,5 M€, révélant des fragilités structurelles malgré une dynamique économique positive. Ce constat interroge la soutenabilité des modèles financiers.
Une croissance portée par la billetterie et les partenariats
En Top 14, le chiffre d’affaires atteint 434 M€ (+9,3 %), dopé par une fréquentation record dans les stades (+15 % de recettes de match) et une hausse des droits TV. Les partenariats et hospitalités, premier poste de revenus, progressent de 4 %. En Pro D2, la billetterie explose (+41 %), portée par un engouement local et des affluences en hausse, comme à Provence Rugby (plus de 10 000 spectateurs de moyenne). Ces chiffres traduisent l’attractivité croissante du rugby français, amplifiée par le succès de la Coupe du monde 2023 et une visibilité accrue via Canal+.
Des dépenses qui suivent l’inflation
Malgré le Salary Cap (10,7 M€), la masse salariale grimpe de 7 % (+3,51 % pour les joueurs de Top 14, +20,8 % en Pro D2), représentant 40 % des charges contre 45 % il y a deux ans. Trois clubs concentrent 85 % de cette hausse, signe d’une polarisation entre cadors (budgets jusqu’à 62,5 M€, pour le Stade Toulousain) et outsiders (18,3 M€ minimum). Les dépenses globales, frôlant 500 M€ en Top 14, intègrent aussi l’inflation et les coûts variables liés aux hospitalités et au merchandising, érodant les marges.
Une santé financière contrastée
En Top 14, 10 des 14 clubs sont dans le rouge, avec des pertes d’exploitation de 64,5 M€ (+9,7 %), un niveau inédit hors Covid. Huit affichent un déficit "significatif", dont un à -16,9 M€, sauvé par son actionnaire. En Pro D2, 12 clubs sur 16 sont déficitaires, deux dépassant -3 M€. Après abandons de créances, la perte nette cumulée tombe à -34,9 M€, couverte par des fonds propres ou des actionnaires privés, un modèle dépendant de mécènes.
Un débat sur le Salary Cap
Face à cette situation, Yann Roubert, nouveau président de la LNR, plaide pour une baisse "modérée et progressive" du Salary Cap dès 2027. Les clubs excédentaires, comme La Rochelle, prouvent pourtant qu’un équilibre est possible avec une gestion rigoureuse.
Enjeux pour l’économie du sport
Ce rapport met en lumière un rugby français à la croisée des chemins. La croissance des recettes (10 % annuels sur 5 ans, LNR) offre un potentiel économique réel, mais l’incapacité à réduire les déficits questionne la viabilité à long terme. Un recalibrage des coûts, une diversification des revenus (digital, merchandising international) et une mutualisation des ressources entre clubs pourraient éviter une crise plus profonde, tout en préservant l’élan populaire du rugby hexagonal.
À lire sur le figaro, l’équipe, rugbyrama
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Ineos se retire de l'America's Cup alors que les coupes budgétaires se poursuivent dans le sport - sportspro (en)
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Le Comité d’Organisation des Championnats du Monde de Cyclisme 2027 annonce ses premières recrues - uci 2027
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Nicolas de Tavernost à la tête de LFP Media : un défi titanesque
Le football français, en pleine crise des droits TV, s’apprête à accueillir une figure emblématique : Nicolas de Tavernost. L’ex-patron de M6, âgé de 74 ans, a confirmé au Monde son arrivée imminente comme directeur général de LFP Media, la filiale commerciale de la Ligue de football professionnel. Il quittera dans les prochains jours son poste de PDG par intérim de BFM-TV/RMC, occupé depuis juillet 2024, pour éviter tout conflit d’intérêts, tout en conservant son rôle de conseiller auprès de Rodolphe Saadé chez CMA Média. Sa nomination, soutenue par le fonds CVC et la LFP, intervient dans un contexte critique, qualifié par Tavernost lui-même d’"Himalaya à franchir".
Une crise des droits TV au cœur des enjeux
LFP Media, créée en 2022 avec un investissement de 1,5 Md€ de CVC, gère les droits audiovisuels de la Ligue 1 et Ligue 2. Mais la crise avec DAZN, diffuseur principal depuis 2024, met en péril ce modèle. Avec seulement 700 000 abonnés contre 1,5 million nécessaires à l’équilibre, DAZN accumule des pertes estimées entre 200 et 250 M€ cette saison. La plateforme, qui diffuse 8 des 9 matchs de Ligue 1 par journée pour 400 M€ annuels, a attaqué la LFP en justice, réclamant 573 M€ pour "tromperie sur la marchandise". La médiation, qui s’achève le 10 avril, stagne, et DAZN menace de rompre son contrat dès mai 2025. Pour Nicolas de Tavernost, le défi est clair : stabiliser ce partenariat ou imaginer un plan B.
Un plan B ambitieux mais risqué
Face à l’impasse, l’idée d’une chaîne propre à la LFP refait surface. "Cela fait partie des prérogatives de LFP Media d’imaginer des opportunités", indique Nicolas de Tavernost. Un tel projet, évoqué dès 2024 par Vincent Labrune, président de la LFP, et Benjamin Morel, ancien DG de LFP Media, nécessiterait des centaines de millions d’euros d’investissement initial, avec un retour incertain. Pourtant, Nicolas de Tavernost, qui a décroché les droits des Coupes du monde 2026 et 2030 pour M6, a l’expérience pour négocier avec des diffuseurs comme Canal+ ou des FAI. Joseph Oughourlian, président du RC Lens, milite aussi pour cette option, plaidant pour une distribution accessible et un partenariat rapide avec un opérateur.
Une expertise au service d’un leadership attendu
Avec 30 ans à la tête de M6 et 19 ans comme propriétaire des Girondins de Bordeaux (1999-2018), Nicolas de Tavernost allie une connaissance fine des médias et du football. "Son expertise et son réseau dans le CAC 40 sont un autre niveau", note un proche de la LFP. Sa capacité à fédérer sera cruciale, alors que les tensions entre clubs et avec Vincent Labrune fragilisent la gouvernance. Le sénateur Michel Savin, dans un rapport récent, appelle d’ailleurs à clarifier les rôles entre LFP et LFP Media pour éviter les "confusions".
Perspectives économiques
Une rupture avec DAZN sans alternative viable menacerait la survie de nombreux clubs, déjà échaudés par l’échec Mediapro en 2020. Une chaîne LFP pourrait diversifier les revenus, mais exige une vision à long terme que Nicolas de Tavernost, à 74 ans, devra incarner rapidement. CVC, qui ponctionne 13 % des droits TV, surveillera de près la rentabilité de son investissement. En somme, Nicolas de Tavernost hérite d’un chantier stratégique où l’échec n’est pas une option.
À lire sur sport buzz business, le parisien, sportbusiness.club, sud ouest 💰, le monde 💰
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Une Barbie à l’effigie de LeBron James, premier athlète masculin à recevoir cet honneur - le parisien
Comment je suis devenue... la toute première rédactrice de mode de la NFL - business of fashion (en)
Kiprun : un nouveau logo pour “passer à la vitesse supérieure” - sportbusiness.club 💰, kiprun
700 000.
C’est la nouvelle estimation du nombre d’abonnés à Dazn. Les dernières promotions auraient permis de faire grimper rapidement ce contingent.
À lire sur france info
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Nomination de Cyril Linette comme directeur général : pourquoi ça coince - le dauphiné 💰, francs jeux
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La Cour des comptes dénonce "des dysfonctionnements" dans l'organisation de France 2023 et des "engagements financiers mal maîtrisés"
La Cour des comptes a rendu un verdict sans appel sur l’organisation de la Coupe du monde de rugby 2023 en France. Dans son rapport définitif, elle dénonce des "erreurs considérables", un "manque de rigueur" et des "prévisions erronées" ayant conduit à un désastre financier. Pierre Moscovici, Premier président de la Cour, parle d’un "chèque en blanc" accordé à Claude Atcher, ex-directeur général de France 2023, avec la complicité passive de la Fédération française de rugby, alors présidée par Bernard Laporte, et des services de l’État. Ce qui devait être une manne de 68 M€ s’est mué en un déficit de 19,2 M€ minimum, potentiellement 28,9 M€ pour la FFR, et un résultat global de -13,9 M€ pour le GIE, loin des 33 M€ de bénéfices de 2007.
Une gabegie chiffrée
Les chiffres sont accablants : -15,9 M€ pour le programme "Campus 2023", un centre de formation d’apprentis jugé coûteux et mal pensé ; -11,7 M€ liés à un litige avec Daimani, chargé des hospitalités ; et un redressement fiscal de 20,7 M€ dû à des choix fiscaux hasardeux de Claude Atcher. Le GIE affiche un déficit final de 53 M€. À cela s’ajoute une contribution publique de 138,6 M€, 50 % au-dessus des prévisions initiales, sans retombées pour le développement du rugby local, au grand dam des villes hôtes et des régions. World Rugby, en revanche, a engrangé 500 M€, soulignant l’asymétrie entre organisateurs et bénéficiaires.
Une gouvernance défaillante
La Cour pointe une triple responsabilité. Claude Atcher, révoqué en 2022 pour management toxique, est accusé d’avoir surpayé les droits d’hospitalités (82 M€) à World Rugby, d’avoir ignoré des avis fiscaux et d’avoir transmis des données "sommaires" voire "inexactes" à la FFR et à l’État. Dans son droit de réponse, il rejette la faute sur ses successeurs, estimant que 50 M€ ont été perdus après son départ. La FFR, sous Bernard Laporte, est critiquée pour son "absence de contrôle", validant sans débat des décisions risquées, comme l’entrée du GIP dans le GIE en 2019 après le retrait de Sodexo. Laporte se défend en invoquant des audits obsolètes, mais la Cour persiste : la passivité fédérale a aggravé la débâcle. Enfin, l’État, via ses multiples instances, a failli à son rôle de vigie, ne réagissant qu’en 2022 après une crise médiatisée.
Leçons pour l’économie du sport
Ce fiasco interpelle. D’abord, il révèle les dangers d’une délégation excessive à un dirigeant sans garde-fous, un modèle que la Cour veut réformer via des nominations plus encadrées. Ensuite, il questionne la viabilité des grands événements en France, où les coûts publics explosent sans retombées durables. Comparé aux JO de Paris 2024, qui tablent sur 2,5 Mds€ de recettes privées, le contraste est saisissant. Enfin, il met en lumière les limites d’un modèle dépendant des hospitalités (117 035 packages vendus contre 213 630 espérés), surestimées dès la candidature. Ces événements doivent désormais prioriser des études préalables rigoureuses et une gouvernance transparente pour éviter de transformer un succès populaire en gouffre financier. Les Alpes 2030, déjà en préparation, devront en tirer les leçons.
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Joseph Oughourian, président du RC Lens, était l’invité de l’After Foot lundi soir
Nicolas Julia, co-fondateur de Sorare, est l’invité du podcast anglophone Business of Sports
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L'Euroligue sur la NBA Europe : “De tels projets risqueraient de fragmenter le sport et de créer la confusion” - l’équipe
Le tourisme sportif pèse 10 % des dépenses mondiales, selon Expedia - sport & tourisme
L’essor du sport féminin : entre croissance économique et défis structurels - sport stratégies
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"Ça paraissait trop beau" : l’incroyable arnaque au mercato déjouée par le Paris 13 Atletico - le parisien 💰
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La carte des sites et la quête de partenaires, les deux priorités de Grospiron et des Alpes françaises
À moins de cinq ans des Jeux olympiques et paralympiques d’hiver 2030 dans les Alpes françaises, le Comité d’organisation s’organise. Edgar Grospiron, président depuis février, devait voir son choix de Cyril Linette, ex-dirigeant du PMU et de L’Équipe, entériné comme directeur général ce lundi. Il faudra attendre une semaine de plus (voir rubrique En Bref). Ce duo, alliant expertise sportive et managériale, doit relever deux défis majeurs : finaliser la carte des sites et sécuriser des partenariats privés, dans un contexte où le temps presse.
Une carte des sites sous tension
La carte des sites, attendue pour le 23 juin lors de la Journée olympique, est un puzzle complexe. Basé à 90 % sur des infrastructures existantes, le projet s’articule autour de quatre pôles : Haute-Savoie (biathlon, ski de fond), Savoie (ski alpin, bobsleigh), Briançonnais (freestyle, snowboard) et Nice (patinage, hockey). Mais des ajustements agitent les débats. Val-d’Isère, absente du dossier initial, est réclamée par certains, notamment Jean-Claude Killy, pour son héritage olympique. Renaud Muselier, président de la région Sud, y voit une menace d’équilibre : "Si Val-d’Isère revient, Isola 2000 suivra." Le coût estimé – 30 M€, dont 10 M€ d’infrastructures – pèse dans la balance.
Le patinage de vitesse pose aussi problème. Sans anneau en France, Renaud Muselier rejette un investissement de 50 M€ jugé inutile post-Jeux. Turin, visitée par Edgar Grospiron le 2 avril, propose son Oval Lingotto, une option économique et durable. Ces choix, dictés par les finances et l’équilibre territorial, devront satisfaire les régions Auvergne-Rhône-Alpes et Sud-PACA, tout en respectant l’Agenda 2020+5 du CIO sur la sobriété.
La chasse aux partenaires privés
L’autre priorité est financière. Sur un budget Cojop de 2 Mds€, l’État et les régions apportent 462 M€, le CIO 660 M€ via droits TV et sponsors mondiaux, et la billetterie 250-300 M€. Reste 580 M€ à trouver auprès de privés, dont 60 M€ en hospitalités. Edgar Grospiron vise des signatures rapides, dès 2026, pour maximiser l’activation marketing post-Milan-Cortina. Des acteurs de Paris 2024 sont intéressés, mais l’État, prudent, a demandé une baisse de 10 % des ambitions sponsorship, un point encore débattu. Des groupes locaux comme CMA-CGM pourraient être sollicités, avec un soutien étatique envisagé.
Une loi olympique en soutien
Pour les infrastructures (1 Md€ via Solidéo), une loi olympique, inspirée de Paris 2024, est prévue. Présentée fin juin au Sénat, elle vise une adoption en octobre pour accélérer les travaux – nouvelle patinoire à Nice, villages olympiques. Tout retard compromettrait le calendrier.
Enjeux économiques
Ces JO représentent une opportunité de 3,6 Mds€ de valeur ajoutée et 48 000 emplois. Mais leur rentabilité reste incertaine, les éditions hivernales étant souvent déficitaires. Edgar Grospiron devra concilier ambition sportive, durabilité et viabilité financière, sous l’œil vigilant des acteurs publics et privés.
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Depuis 1991, La Française des Jeux soutient les athlètes français dans leur quête vers la plus haute performance et la réussite olympique et paralympique, à travers un soutien humain et financier. En 2019, le programme "Challenge" s'est transformé pour devenir la FDJ UNITED Factory, avec Paris 2024 en ligne de mire. Le bilan remarquable du collectif aux Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 – vingt-cinq médailles, dont sept d'or, quatre d'argent et quatorze de bronze – a permis de clôturer avec succès ce dernier quinquennat.
Fort de ces succès qui ont permis de récompenser la détermination du collectif et la qualité de la détection des athlètes par l'entreprise, FDJ UNITED est fier de poursuivre son engagement auprès du sport français et dévoile la nouvelle composition de la FDJ UNITED Factory pour les saisons 2025 et 2026.
A l'issue d'un jury de sélection, présidé par Stéphane Pallez, Présidente directrice générale du Groupe, et en présence notamment de Yann Cucherat, Manager général de la haute performance à l'Agence nationale du Sport, trente-quatre athlètes ont été sélectionnés et composent le nouveau collectif FDJ UNITED Factory. Dans le détail, il s'agit de dix-huit femmes et seize hommes, dont treize athlètes de parasports, et huit athlètes de sports d'hiver. Le collectif comportera également une pépinière avec huit profils d'athlètes plus jeunes dans leur discipline.
Découvrez les 34 athlètes de la FDJ UNITED Factory ici : Sport Factory - FDJ UNITED
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Ancienne brand manager chez Nike, aujourd’hui à la Fédération Française de Handball, Léa Dolzani revient sur son parcours, ses engagements et son rôle dans le développement du sport féminin. Elle est l’invitée du podcast Témoin.
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FDJ UNITED renouvelle son engagement pour le sport français avec la FDJ UNITED FACTORY !
La FDJ UNITED Factory, c'est 34 athlètes et une ambition : porter haut les couleurs du groupe en France et à l'international.
Chez FDJ UNITED, nous faisons plus que soutenir le sport : nous créons des liens, nous inspirons et nous accompagnons nos athlètes dans leur développement personnel, leurs projets de formation et leur reconversion. Parce que le sport est plus qu'un jeu, c'est une force qui unit et qui fait avancer.
Pour en savoir plus : Sport Factory - FDJ UNITED
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Pourquoi au moins un tiers des sections féminines sont à vendre
La crise des droits TV qui secoue le football français depuis des mois a des répercussions inattendues mais profondes sur l’Arkema Première Ligue, le championnat féminin de l’élite. Plus d’un tiers des sections féminines des 12 clubs engagés en 2024-2025 seraient à vendre, plombées par les difficultés économiques des clubs masculins dont elles dépendent. Jean-Michel Aulas, président de la Ligue Féminine de Football Professionnel, résume : "Les clubs masculins en difficulté se demandent s’ils doivent se séparer ou supprimer leurs équipes féminines." Dans ce contexte, des investisseurs, notamment américains et anglais, manifestent un intérêt croissant.
Une crise en cascade
La genèse de cette situation tient à l’effondrement des revenus télévisuels de la Ligue 1, exacerbé par l’échec des négociations avec des diffuseurs comme Mediapro en 2020 et les incertitudes autour des contrats actuels avec DAZN. Pour des clubs comme Le Havre ou Reims, déjà fragilisés, la section féminine devient un luxe difficile à maintenir. À Dijon, le président Pierre-Henri Deballon a officialisé la mise en vente de sa section féminine (budget de 2,7 M€), invoquant une réduction des coûts sans lien direct avec les droits TV, mais symptomatique d’un désengagement chronique. À Montpellier, Laurent Nicollin envisage une cession partielle face à une possible relégation en Ligue 2 de l’équipe masculine. Le Havre (2 M€ de budget) et Reims, malgré une progression sportive, suivent la même logique, avec des discussions déjà entamées avec des repreneurs.
Des sections féminines vulnérables
Historiquement, les sections féminines françaises dépendent des structures masculines, un modèle qui les rend vulnérables en période de crise. "On n’a pas su surfer sur l’élan de la Coupe du monde 2019", confie un ex-entraîneur de D1. À Dijon, l’absence d’un service commercial dédié ou d’une valorisation dans les partenariats illustre ce manque d’investissement. Même des clubs comme Le Havre, promu en 2022, peinent à stabiliser leur modèle économique malgré des dotations FFF/UEFA de 600 000 €.
Une opportunité pour les investisseurs étrangers
Face à cette fragilité, la LFFP, sous l’impulsion de Jean-Michel Aulas, orchestre une réponse ambitieuse. Six fonds d’investissement, principalement américains et anglais, souvent liés à la NWSL, négocient avec les clubs et la ligue. "Ce sont des investisseurs qui croient en la croissance du football féminin", assure Jean-Michel Aulas, qui anticipe des annonces avant fin 2025. Deux acteurs français sont aussi en lice. Ces rachats s’inscrivent dans un cadre strict : respect de la "Licence Club" (infrastructures, ressources), contrôle par la DNCG et création de structures juridiques (SASP). La valorisation reste floue, mais les 50 M€ payés par Michele Kang pour l’OL féminin en 2023 sont inatteignables.
Perspectives économiques
Ce mouvement pourrait redéfinir le paysage du football féminin français. L’arrivée d’investisseurs étrangers promet une injection de capitaux, une professionnalisation accrue et une indépendance vis-à-vis des clubs masculins. Cependant, elle pose aussi des risques : perte d’identité locale et spéculation sur un marché encore immature. La LFFP mise sur de nouveaux sponsors et une exploitation optimisée pour fiabiliser ce modèle. Si elle réussit, l’Arkema Première Ligue pourrait s’inspirer de la WSL anglaise, où les clubs féminins s’émancipent progressivement. Reste à savoir si cette crise, bien que silencieuse, marquera un tournant historique ou un simple soubresaut.
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Le Café du Sport Business, partenaire de la 3ème édition du Forum de la Billetterie 2025, a rencontré Eddie Aubin, fondateur de l'événement, pour en savoir plus sur cette troisième édition qui se tiendra les 13 et 14 mai 2025 au Parc Floral de Paris.
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C’est le nombre minimum de places que les Brûleurs de Loups auraient pu vendre pour le match 5 de la finale de Ligue Magnus, où ils ont remporté le titre de champions de France. Le club grenoblois a recensé un nombre record de connexions lors de la mise en vente de ces places jeudi à 18h30.
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FDJ UNITED renouvelle son engagement pour le sport français avec la FDJ UNITED FACTORY !
La FDJ UNITED Factory, c'est 34 athlètes et une ambition : porter haut les couleurs du groupe en France et à l'international.
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Le Café du Sport Business, partenaire de la 3ème édition du Forum de la Billetterie 2025, a rencontré Eddie Aubin, fondateur de l'événement, pour en savoir plus sur cette troisième édition qui se tiendra les 13 et 14 mai 2025 au Parc Floral de Paris. |
Pouvez-vous nous présenter le concept du Forum de la Billetterie et son association avec le salon Objectif Green ?
Le Forum de la Billetterie a vu le jour en 2018 dans la continuité des activités du cabinet MyOpenTickets, acteur clé dans la structuration et la professionnalisation du marché de la billetterie depuis plus d'une décennie. Ce rendez-vous a pour vocation de rassembler pendant deux jours les professionnels utilisant la billetterie comme levier de vente, favorisant les échanges entre différents secteurs.
Après une pause due à la pandémie, nous avons décidé de relancer l'événement en 2025, avec une nouvelle dynamique grâce à notre partenariat avec Pascal Maillet (Directeur de BU Sport et fondateur du salon Objectif Green chez eko Events). Cette collaboration vise à maximiser l'impact en rassemblant deux événements complémentaires partageant un même visitorat, afin de proposer une expérience enrichie et en phase avec les enjeux actuels.
L'édition 2025 se tiendra les 13 et 14 mai au Parc Floral de Paris et se structurera autour de deux espaces majeurs :
Le Forum de la Billetterie
Objectif Green, dédié à l’événementiel durable
Cette association permettra d’offrir des contenus enrichis et de favoriser des échanges transversaux.
Nous avons également à cœur de rassembler un maximum d’acteurs pour renforcer notre impact au sein de l’écosystème. En partenariat avec le salon Objectif Green, nous consolidons notre influence auprès des institutions et organisations clés, notamment LÉVÉNEMENT, Ekhoscènes, La Scène Indépendante, France Congrès et Événements, La Clé et le Synpase. Nous collaborons également avec les délégations ministérielles du Sport, de la Culture et de la Transition écologique, qui jouent un rôle essentiel dans la structuration du marché, sa régulation et l’intégration des principes RSE dans l’événementiel.
Quels seront les principaux thèmes abordés lors du Forum de la Billetterie 2025 ?
L'édition 2025 du Forum de la Billetterie s'articulera autour de trois axes clés : revenus, data et expérience. Les thématiques abordées répondent aux défis actuels du secteur et ont été définies en concertation avec un comité consultatif de professionnels :
Exploitation des données et connectivité : S'inspirer des succès du transport et du voyage pour optimiser la distribution des billets.
Revenue management et Business Intelligence : Adapter les stratégies du sport et des loisirs pour la gestion dynamique des prix dans la culture.
Cybersécurité et protection des infrastructures : Renforcer la sécurité des transactions face à la recrudescence des cyberattaques, prévenir la fraude et les faux sites, tout en assurant la souveraineté des données.
Nouvelles sources de revenus : Développer des activités complémentaires comme le merchandising, l’assurance ticketing et les services premium.
Intelligence artificielle : Opportunités et risques pour l'analyse des données et l'amélioration de l'expérience utilisateur.
Le sport aura une place centrale dans cette édition, avec une forte présence d’acteurs du secteur partageant leurs innovations et retours d'expérience.
Nous sommes heureux de mettre en lumière cet écosystème en l’intégrant aux univers du spectacle et des loisirs, afin de stimuler les synergies et les échanges interprofessionnels.
Du côté du salon Objectif Green, plusieurs thématiques majeures seront explorées, notamment un retour d’expérience sur la mise en œuvre des initiatives RSE lors des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. Le salon abordera également des enjeux transversaux tels que le réemploi, la gestion de l’énergie, la mobilité douce, l’offre de restauration durable, l’évolution de la norme ISO 20121, ainsi que les achats responsables et l’engagement des lieux événementiels.
Quel public attendez-vous pour cette édition 2025 ?
Nous prévoyons entre 3 000 et 4 000 visiteurs sur les deux jours. L'événement s'adresse aux professionnels du secteur culturel, sportif et des loisirs :
Clubs sportifs, organisateurs d'événements, producteurs de spectacles et festivals,
Agences événementielles, entreprises du corporate et des loisirs,
Collectivités territoriales, qui jouent un rôle majeur dans le développement du secteur.
Nous proposerons des formats interactifs : ateliers, pitchs, tables rondes et un espace juridique & comptable, avec la participation de cabinets spécialisés.
Combien d’exposants seront présents et quels services leur seront offerts ?
Nous accueillerons plus de 70 exposants au Forum de la Billetterie et une centaine à Objectif Green. Les exposants couvriront l’ensemble du marché :
Éditeurs de billetterie, distributeurs, solutions de tarification dynamique,
CRM, solutions data, channel managers,
Village startup avec SporTech France,
Un espace juridique & comptable pour accompagner les professionnels.
Nous souhaitons offrir aux exposants bien plus qu’une simple présence sur un salon, en leur donnant l’opportunité de co-construire l’événement à l’image de leur entreprise, tout en veillant à une expérience harmonieuse pour tous les participants.
Nous offrons aux exposants plusieurs opportunités :
🔹 Des rendez-vous qualifiés avec les visiteurs professionnels,
🔹 Des espaces dédiés aux échanges et démonstrations,
🔹 La possibilité d’intervenir lors de conférences et d’ateliers (sous réserve de disponibilité),
🔹 Une exclusivité cette année : les "Pitch Sourcing", en partenariat avec les syndicats et fédérations du Forum.
Les Pitch Sourcing offrent aux exposants une opportunité unique de :
🔹 Identifier et anticiper des appels d’offres avant leur publication,
🔹 Échanger directement avec les donneurs d’ordre,
🔹 Challenger les besoins exprimés et proposer des solutions sur mesure,
🔹 Explorer de nouvelles opportunités commerciales.
En rassemblant les principaux acteurs du marché, le Forum de la Billetterie 2025 s'affirme comme l'événement incontournable pour élargir son réseau, saisir de nouvelles opportunités et affiner ses stratégies commerciales.
Il reste encore quelques stands disponibles, c'est encore le moment de réserver.
Pouvez-vous nous parler des Trophées FrenchTick ?
Les Trophées FrenchTick valorisent les prestataires innovants et sont ouverts à toutes les entreprises disposant d’une activité en France. Les catégories incluent :
Innovation,
Marketing,
Relation Client,
Fan Expérience,
Startup de l’année,
Partenariat de l’année.
Une nouveauté 2025 : le Trophée FrenchTick "Impact", récompensant une entreprise engagée dans une démarche RSE.
Les candidatures sont ouvertes jusqu'au 14 avril 2025 à 18h. Les lauréats seront révélés le 13 mai 2025 à 18h.
Un dernier mot pour les professionnels du sport qui hésiteraient encore à participer ?
Le Forum de la Billetterie 2025 est une opportunité unique pour découvrir les meilleures pratiques et rencontrer les acteurs qui font bouger le secteur. Que vous soyez un club, une ligue ou un organisateur d'événements sportifs, la billetterie est au cœur de votre stratégie commerciale et marketing. Cet événement est fait pour vous !
Vos inscriptions vous donneront accès également au salon Objectif Green.
📅 Forum de la Billetterie & Objectif Green - 13 & 14 mai 2025 | Parc Floral de Paris
🔗 Infos & inscriptions : forumbilletterie.fr
🎟️ Le Café du Sport Business, partenaire du Forum de la Billetterie, vous invite à réserver vos invitations dès maintenant !n intégrer au lien)
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Les Dragons Catalans vont lancer "un appel au peuple" pour boucler le budget
À la veille d’un quart de finale de Challenge Cup contre Salford, Bernard Guasch, président des Dragons Catalans, a tiré la sonnette d’alarme lors de l’émission 100% Dragons sur Ici Roussillon. Le club de rugby à XIII, qui évolue en Super League, traverse une passe financière délicate. Avec un budget oscillant entre 13 et 14 millions d’euros, il manque un million pour boucler l’exercice 2025. Pour combler ce déficit, Bernard Guasch envisage un "appel au peuple", sollicitant supporters et partenaires.
Une conjoncture économique défavorable
Les difficultés financières des Dragons s’expliquent par plusieurs facteurs. La saison 2024, marquée par une décevante septième place, a privé le club de primes liées aux phases finales et de recettes supplémentaires à domicile. À cela s’ajoute une nouvelle charge : depuis 2025, les Dragons doivent financer les déplacements des clubs anglais à Perpignan, soit plus de 400 000 euros. Une décision de la Rugby Football League (RFL) qui, selon Bernard Guasch, s’explique par l’absence de revenus télévisuels français, contrairement aux espoirs placés dans des diffuseurs comme L’Équipe ou BeIN Sports. Le contexte économique local, avec une baisse des subventions publiques et une conjoncture tendue en Europe, aggrave la situation. "L’argent public se raréfie, l’Angleterre est dans le même bateau", déplore-t-il.
Les partenaires, poumon du club
Malgré ces vents contraires, les 430 partenaires privés restent le socle financier des Dragons, représentant environ 5 millions d’euros par an. "Le club ne tient qu’avec eux", insiste Bernard Guasch. Cependant, la fidélité de ces acteurs ne suffit plus face à l’érosion des autres ressources. Les redevances télévisées, déjà modestes, ont été réduites, et les bonus sportifs font défaut. Cette dépendance aux sponsors locaux, dans un département économiquement fragile comme les Pyrénées-Orientales, limite les marges de manœuvre.
Un "appel au peuple" pour mobiliser la communauté
Pour trouver ce million manquant, Bernard Guasch mise sur une mobilisation collective. "On va lancer un appel aux supporters dans quelques semaines, peut-être sous forme d’une communauté des Dragons", annonce-t-il. Cette initiative, encore à l’étude, pourrait s’inspirer de modèles comme le crowdfunding ou des abonnements participatifs, déjà expérimentés dans le sport. En 2020, le FC Barcelone avait levé des fonds via une campagne auprès de ses socios pour pallier les pertes liées à la pandémie. Les Dragons pourraient adapter ce concept, renforçant le lien avec leur base de fans tout en sécurisant leur trésorerie.
Le levier sportif : la Challenge Cup comme bouée de sauvetage
Sur le terrain, une victoire en Challenge Cup pourrait redonner un élan économique et symbolique. Le triomphe de 2018 à Wembley avait dopé les recettes et l’attractivité du club. Bernard Guasch y voit une opportunité : "Une finale à Wembley fait rêver, ça peut remettre les pendules à l’heure après une saison difficile." Un parcours réussi attirerait sponsors et public, allégeant la pression avant l’inauguration de la nouvelle tribune Guasch-Laborde, un projet coûteux mais stratégique pour augmenter les revenus futurs.
Perspectives pour l’économie du sport
Cette situation illustre les défis des clubs excentrés dans des compétitions internationales. Les Dragons, unique représentant français en Super League, jonglent entre ambitions sportives et contraintes logistiques. Leur "appel au peuple" pourrait devenir un cas d’école, démontrant comment la mobilisation communautaire peut compenser la faiblesse des revenus institutionnels. Reste à savoir si cette stratégie suffira à stabiliser un modèle économique sous tension, dans un rugby à XIII en quête de visibilité en France.
À lire sur ici 📽️
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Impact Player : La gouvernance du sport au service de son impact économique, par Antoine Duval
Impact Player explore les grands enjeux contemporains auxquels se confronte le secteur du sport et examine comment des stratégies de gouvernance efficaces et bien réfléchies peuvent lui permettre de générer un véritable impact au sein des sociétés, qu'il soit économique, social ou environnemental.
Avec ce livre d'économie, Antoine Duval a l'ambition d'offrir aux décideurs de tous horizons des clés de lecture pour comprendre la manière dont un secteur a su se repenser pour générer davantage de valeur et mieux répondre aux attentes de ses différentes parties prenantes.
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La MLS espère que l'IA agentique et l'accord avec Apple créeront des relations bidirectionnelles avec les fans de DTC - sports pro media (en) 💰
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NBA en Europe : "Si on s’appelle PSG Basketball c’est plus porteur", souligne le patron du basket français - le parisien 💰
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FDJ UNITED renouvelle son engagement pour le sport français avec la FDJ UNITED FACTORY !
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"L’UTS reprend les codes de consommation des jeunes, les joueurs adorent", promet l’organisateur Patrick Mouratoglou
Le tennis, sport séculaire aux traditions bien ancrées, fait face, comme beaucoup de sports, à un défi majeur : séduire les nouvelles générations. C’est dans ce contexte que Patrick Mouratoglou a lancé l’Ultimate Tennis Showdown en 2020, un format innovant qui s’invite ce vendredi et samedi dans les prestigieuses arènes de Nîmes. Avec des matches courts, un spectacle permanent et une volonté affirmée de coller aux attentes des jeunes, l’UTS ambitionne de dépoussiérer un tennis jugé trop vieillissant.
Un constat alarmant : une fan base en perte de vitesse
Le point de départ de l’UTS repose sur une réalité chiffrée : l’âge moyen des fans de tennis atteint 61 ans, selon Patrick Mouratoglou, reflétant une audience héritée des années 70 et 80. Les jeunes, eux, brillent par leur absence. Ce désintérêt s’explique par des codes de consommation incompatibles avec le tennis traditionnel : des matches longs (parfois plus de 4 heures), 80 % de temps morts et une image policée, presque aseptisée, loin de l’authenticité prisée par les 18-35 ans. À titre de comparaison, des sports comme le basketball ou le football américain ont su s’adapter avec des formats dynamiques et des stars charismatiques.
Ce qui fascine les puristes effraie les jeunes, habitués aux vidéos TikTok de 15 secondes ou aux séries Netflix à suspense constant. Patrick Mouratoglou l’affirme : sans renouveau, le tennis risque de s’étioler à long terme.
L’UTS : un tennis taillé pour l’ère numérique
L’UTS propose une réponse radicale : des matches découpés en quatre quart-temps de huit minutes, un chronomètre implacable, des temps morts réduits à 15 secondes et une animation continue (musique, interviews en direct, consignes des coaches audibles). Fini l’attente interminable entre deux points ; place à un rythme effréné et à une expérience immersive. Ce format, qui garantit une durée fixe, répond au besoin de prévisibilité des télévisions et des spectateurs modernes, tout en offrant un spectacle permanent.
À Nîmes, l’événement s’inscrit dans cette logique disruptive. Les arènes, lieu chargé d’histoire, accueilleront des stars mondiales dans une ambiance de show à l’américaine. Avec 12 500 places vendues pour la session de samedi – un record pour l’UTS –, l’engouement est palpable. Le choix de ce cadre prestigieux, soutenu par le groupe Bastide Médical, illustre aussi une stratégie d’ancrage local et d’attractivité touristique, un levier économique non négligeable pour les territoires.
Une alternative, pas une menace
Contrairement à la refonte ratée de la Coupe Davis par Gerard Piqué, critiquée pour avoir dénaturé une institution sans séduire de nouveaux publics, l’UTS ne cherche pas à remplacer le circuit traditionnel. Patrick Mouratoglou insiste : "On ne concurrence pas les Grands Chelems, on propose autre chose." Les chiffres parlent d’eux-mêmes : 50 % des fans de l’UTS sont des néophytes, et la moyenne d’âge tombe à 40 ans, contre 61 pour le tennis classique. Cette diversification élargit le marché sans cannibaliser l’existant, une aubaine pour les acteurs économiques du sport.
Les joueurs, premiers ambassadeurs
L’adhésion des joueurs est un atout majeur. Gaël Monfils, showman de 38 ans, incarne l’esprit UTS : spectaculaire, expressif, il déchaîne les foules, comme lors de sa victoire à New York. Même les stars comme Novak Djokovic, dont la personnalité clivante tranche avec l’image lisse de ses prédécesseurs, saluent l’initiative. Les pros, eux-mêmes jeunes, consomment le sport comme leurs fans : ils privilégient les "highlights" aux matches entiers. L’UTS leur offre une scène où briller sans s’épuiser, un argument de poids dans un calendrier ATP surchargé.
Une réponse aux menaces émergentes
Le tennis traditionnel doit aussi composer avec la concurrence de sports comme le padel ou le pickleball, plus accessibles et rentables pour les clubs. En France, la Fédération de tennis a intégré le padel, qui explose avec des terrains plus petits et une prise en main rapide. Aux États-Unis, le pickleball grignote des parts de marché. Novak Djokovic lui-même alerte sur ce danger. L’UTS, en misant sur le spectacle plutôt que la pratique, pourrait contrebalancer cette tendance en repositionnant le tennis comme un produit de divertissement premium.
Perspectives économiques
L’UTS ouvre des opportunités : billetterie à guichets fermés, partenariats locaux (comme avec Bastide Médical à Nîmes), diffusion sur des plateformes numériques prisées des jeunes, et création d’un écosystème mêlant sport et entertainment. Reste à voir si ce modèle, encore jeune, peut s’inscrire dans la durée sans lasser. Mais une chose est sûre : en s’adaptant aux codes de consommation actuels, Patrick Mouratoglou pose les bases d’un tennis 2.0, capable de séduire là où le circuit ATP peine à innover.
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Thomas Gil, expert international dans l’organisation d’événements et fondateurs de Arts & Sports Events, est l’invité du podcast Ozamba Land
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Meta conclut un accord de parrainage pluriannuel avec l'UFC - adweek (en)
+50 %.
C’est la projection de croissance sur les 3 prochaines années du marché de l’hospitalité sportive en France, selon une étude de Sporsora et AdValorem Affaires publiques.
À lire sur sponsoring.fr
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Edgar Grospiron, Cyril Linette, sports additionnels, Val d’Isère… Les confidences de Renaud Muselier - le figaro, l’équipe
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Après dix ans de forte croissance, le marché français du sport cale
Le marché français du sport, après une décennie de forte croissance (+30 % depuis le Covid), marque le pas avec une progression de seulement 1,7 % en 2024, la plus faible en dix ans, selon l’Union Sport et Cycle. Ce ralentissement, amorcé depuis septembre 2023, annonce une année 2025 charnière, marquée par des stratégies de relance et une consolidation du secteur.
Decathlon, leader du marché, stagne à 4,7 milliards d’euros de chiffre d’affaires en France depuis deux ans, malgré une hausse de fréquentation de 10 % pendant les JO de Paris 2024. "Il y a eu quatre vagues successives de baisses de prix, soit 1 500 produits concernés, qui ont permis une accélération des volumes de vente au deuxième semestre", explique Bastien Grandgeorge, CEO de Decathlon France. Mais cela n’a pas suffi à relancer les revenus, dans un contexte de consommation en berne, de tensions géopolitiques et de météo défavorable. Virgile Caillet, délégué général de l’USC, confirme : "C’est notre plus faible croissance depuis dix ans.” Le marché, tiré par la chaussure, souffre aussi de surstocks, notamment dans le vélo (-10 % en 2024), après une explosion post-Covid.
La concurrence s’intensifie avec l’arrivée de nouveaux acteurs comme Zara, qui propose des runnings à 139 euros (contre 200-300 euros chez Nike), un manteau de ski à 179 euros, une raquette de padel à 279 euros et des chaussures de randonnée à 119 euros. "Nettement plus abordable que les grandes marques", note Vincent Chaudel, directeur de l’Observatoire du sport business.
Face à cela, les distributeurs réagissent : Sport 2000, dirigé par Emmanuelle Bahuaud, vise 1,3 milliard d’euros de chiffre d’affaires d’ici 2030 (contre 831 millions en 2024), tandis qu’Intersport, après le rachat de Go Sport en 2023, frôle les 4 milliards d’euros en 2024, se rapprochant de Decathlon. JD Sports, après l’intégration de Courir et Hibbett, voit son titre chuter de 25 % à Londres en 2025, sur fond de prévisions de résultats en baisse.
Le début d’année 2025 reste poussif, avec des reculs de -2,8 % en janvier et -1,1 % en février. Seule la montagne tire son épingle du jeu (+7 % à mi-mars), tandis que les 7 000 salles de sport affichent une fréquentation en hausse de 6 % et des revenus en progression de 8 % en 2024. Cependant, "leur rentabilité est sous pression en raison de la hausse des coûts et des PGE à rembourser", alerte Virgile Caillet. Les leaders Basic Fit, Fitness Park et Keep Cool, soutenus par des fonds, dominent un marché en consolidation.
L’e-commerce (+8,5 % en 2024) et la diversification des revenus seront clés pour 2025, dans un secteur où Decathlon et Intersport se disputent la première place, et où les nouveaux entrants redéfinissent les règles du jeu.
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3 000.
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FDJ UNITED renouvelle son engagement pour le sport français avec la FDJ UNITED FACTORY !
La FDJ UNITED Factory, c'est 34 athlètes et une ambition : porter haut les couleurs du groupe en France et à l'international.
Chez FDJ UNITED, nous faisons plus que soutenir le sport : nous créons des liens, nous inspirons et nous accompagnons nos athlètes dans leur développement personnel, leurs projets de formation et leur reconversion. Parce que le sport est plus qu'un jeu, c'est une force qui unit et qui fait avancer.
Pour en savoir plus : Sport Factory - FDJ UNITED
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Deux repreneurs, dont un soutenu par l'État, se sont manifestés pour Le Coq Sportif
Le Coq Sportif, équipementier français emblématique placé en redressement judiciaire depuis novembre 2024, attire l’attention de deux repreneurs potentiel.
Selon un rapport de Franck Leroy, président de la région Grand Est, un premier projet, soutenu par l’État, "garantirait le maintien du site de Romilly-sur-Seine" et "offrirait un meilleur traitement aux créanciers, tant publics que privés”.
Le second, moins détaillé, envisage "la vente de licences à l’étranger", une stratégie qui pourrait diluer l’ancrage local de la marque.
L’administrateur judiciaire prévoit de consulter les créanciers en avril 2025 pour un abandon partiel des créances, une étape décisive pour valider une reprise.
Le Coq Sportif, qui emploie 300 salariés en France, est lourdement endetté, avec 60 à 70 millions d’euros dus à des acteurs publics, dont 42 millions d’euros de prêts de l’État (10 millions en 2023, 12,5 millions en juillet 2024), et privés (la FFR réclame 5,3M€ à son ancien équipementier). La marque, fournisseur officiel de l’équipe de France lors des JO de Paris 2024, espérait se relancer grâce à cet événement, soutenu par un prêt de 3 millions d’euros du Comité d’organisation des Jeux. Mais une croissance mal financée a aggravé sa situation : "Dans le prêt-à-porter, un pic de croissance de 30 % peut mettre en péril une entreprise si elle n’est pas bien financé", notait un expert en novembre 2024. La période d’observation, du 21 novembre 2024 au 21 mai 2025, vise à "finaliser les discussions avec de nouveaux investisseurs pour pérenniser l’activité".
Dans ce contexte, la région Grand Est, créancière de l’entreprise basée à Romilly-sur-Seine, a accepté d’effacer 50 % de la dette, soit 1,2 million d’euros, et d’étaler le reste sur 10 ans pour faciliter une reprise. Cette décision illustre l’engagement des acteurs publics à préserver un fleuron industriel local, malgré les tensions financières.
Ce dossier met en lumière les défis des équipementiers face à une concurrence féroce (Adidas, Nike, Puma) et des coûts de production élevés. Le Coq Sportif a généré 150 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2023 et espère encore rebondir.
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Acteur historique du sport en France, FDJ UNITED reconduit son dispositif de soutien aux athlètes tricolores, la FDJ UNITED Factory, et dévoile les trente-quatre sportifs qui composent ce collectif pour les deux prochaines années.
Depuis 1991, La Française des Jeux soutient les athlètes français dans leur quête vers la plus haute performance et la réussite olympique et paralympique, à travers un soutien humain et financier. En 2019, le programme "Challenge" s'est transformé pour devenir la FDJ UNITED Factory, avec Paris 2024 en ligne de mire. Le bilan remarquable du collectif aux Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 – vingt-cinq médailles, dont sept d'or, quatre d'argent et quatorze de bronze – a permis de clôturer avec succès ce dernier quinquennat.
Fort de ces succès qui ont permis de récompenser la détermination du collectif et la qualité de la détection des athlètes par l'entreprise, FDJ UNITED est fier de poursuivre son engagement auprès du sport français et dévoile la nouvelle composition de la FDJ UNITED Factory pour les saisons 2025 et 2026.
A l'issue d'un jury de sélection, présidé par Stéphane Pallez, Présidente directrice générale du Groupe, et en présence notamment de Yann Cucherat, Manager général de la haute performance à l'Agence nationale du Sport, trente-quatre athlètes ont été sélectionnés et composent le nouveau collectif FDJ UNITED Factory. Dans le détail, il s'agit de dix-huit femmes et seize hommes, dont treize athlètes de parasports, et huit athlètes de sports d'hiver. Le collectif comportera également une pépinière avec huit profils d'athlètes plus jeunes dans leur discipline.
Découvrez les 34 athlètes de la FDJ UNITED Factory ici : Sport Factory - FDJ UNITED
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10 134.
C’est l’affluence attendue au Co’Met pour le match de Pro B entre l’Orléans Loiret Basket et l’ADA Blois ce samedi. Orléans signera ainsi son record d’affluence dans son antre, à l’occasion de la réception de son voisin et son dauphin au classement.
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Supporter son club “local”, pas vraiment une habitude ancrée dans le football français - l’équipe
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L’équation ardue du modèle économique du football français : gagner moins et dépenser moins
Le football français traverse une crise économique sans précédent, poussant la Fédération Française de Football et la Ligue de Football Professionnel à repenser leur modèle économique. Les États généraux lancés le 3 mars 2025 par Philippe Diallo, président de la FFF, marquent une étape clé pour réformer un secteur en marasme, face à une baisse drastique des revenus audiovisuels et une dépendance aux transferts.
Philippe Diallo insiste : "Le modèle économique sur lequel nous reposons depuis plusieurs décennies, avec les deux piliers des droits audiovisuels et du système des transferts, est questionné." Les recettes télévisées ont chuté à moins de 500 millions d’euros annuels pour 2024-2029, contre 624 millions d’euros (2021-2024) et 726,5 millions d’euros (2016-2020), affectant durement les petits clubs, plus dépendants de cette manne. Parallèlement, la décision de la Cour de justice de l’Union européenne dans l’affaire Lassana Diarra pourrait fragiliser les transferts, un pilier représentant 80 % à 90 % des revenus des clubs.
En 2023-2024, les clubs français ont cumulé une perte d’exploitation de près d’un milliard d’euros, compensée par 805 millions d’euros de plus-values sur les cessions, limitant le déficit global à 270 millions d’euros, selon la DNCG. Cette saison, le déficit cumulé atteint 1,2 milliard d’euros, menaçant cinq à sept clubs de dépôt de bilan. Philippe Diallo déplore : "Quand je regarde le modèle en Angleterre et en Allemagne, le résultat d’exploitation est à l’équilibre hors transferts. La France a un résultat négatif, et il nous faut vendre des joueurs tout le temps pour atteindre un équilibre." Lors de la dernière fenêtre hivernale, les clubs français ont dominé les ventes internationales avec 357 millions d’euros, loin devant leurs concurrents.
Face à cette crise, Philippe Diallo et la ministre des Sports, Marie Barsacq, prônent une réduction des dépenses, notamment via un contrôle accru de la masse salariale. Depuis 2022, la DNCG limite cette masse à 70 % du chiffre d’affaires, un seuil que Vincent Labrune et Jean-Marc Mickeler souhaitent abaisser, en réduisant aussi le nombre de joueurs sous contrat. Un dirigeant confie : "On a longtemps surpayé des joueurs moyens…" Cette stratégie, toutefois, risque d’accélérer la fuite des talents vers des championnats comme la Premier League (1,6 milliard d’euros de droits TV sur trois ans, dévaluant la Ligue 1, selon Jean-Pascal Gayant, économiste du sport : "Cela peut aboutir à un championnat moins attractif, générant moins de recettes télévisées."
Vincent Labrune prévient : "Les clubs qui vont mourir sont ceux qui n’auront pas moyen de remettre au pot en cas de coup dur." Les grands clubs, comme le PSG (soutenu par QSI) ou l’OM (Frank McCourt), disposent d’actionnaires puissants, tandis que les petits, comme Angers ou Reims, sont contraints de vendre leurs stars. Les 1,5 milliard d’euros de CVC en 2022, censés investir dans les infrastructures, ont souvent servi à surpayer des joueurs, contrairement à ce qu’il s’est passé en Espagne.
Diversifier les revenus (billetterie, sponsors, produits dérivés) est crucial, mais à court terme, une cure d’austérité s’impose pour éviter l’effondrement, tout en évitant d’accentuer les écarts entre clubs riches et pauvres.
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Comment fanxp veut révolutionner l’expérience des fans grâce à la data
Constance Fouquet, récemment nommée à la tête de dataxp, nouvelle entité de fanxp, dévoile comment l’entreprise, forte de près de 20 ans d’expertise en billetterie, se réinvente. Objectif ? Exploiter les données des fans pour booster les revenus des clubs, optimiser leurs opérations et réinventer l’expérience digitale, tout en s’inspirant des meilleures pratiques du retail et de l’e-commerce.
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